Je suis resté bouche bée (8)
Datte: 28/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... nectar que je lui offre. Dans le même temps, je continue de dévorer le membre de mon deuxième amant. J’avale son pieu avec plaisir, puis je décide de changer, de faire de même avec mon excellent lécheur. Il ne se fait pas prier en recevant ce cadeau. De son côté, l’autre mec soulève le bas de ma robe, complimente la beauté de mes fesses, écarte la ficelle, puis me pénètre d’un coup net. Je pousse alors un petit cri sourd, puisque ma bouche est occupée. Il ne ménage pas ses efforts, le bruit de claquement entre le bas de son ventre et mes fesses doit s’entendre dans tout le bus, heureusement qu’à cette heure, il n’y a pas grand monde. Il continue de me pénétrer avec vigueur, va au plus profond de mon vagin, je suis en extase. Puis au bout de cinq minutes, il me demande de le sucer de nouveau, je comprends bien que je vais avoir droit à mon petit-lait du matin. Il positionne ses deux mains autour de ma tête, il a sans doute peur que je recule, mais qu’il n’est pas de crainte, je veux boire le jus de son plaisir. Dans le même temps, je lui caresse les testicules afin de le stimuler, je reçois alors par saccades des jets de sperme au fond de ma gorge. Je déglutis sans rechigner. Dans le même temps, le deuxième larron est en train de me prendre en levrette, sauf qu’il semble assez précoce puisqu’il ne tarde pas à jouir au plus profond de mes entrailles. Autant vous dire que j’ai la bouche pleine, mais pas que. Ils me remercient pour cette offrande, et me souhaitent une bonne ...
... journée. Pour ma part, je vais en direction de ma boutique, je prends tout de même le temps de prendre une douche rapide afin d’évacuer les odeurs. La journée se déroule d’une façon assez classique. Il est bientôt dix-sept heures, j’envoie un message à Sofiane prétextant un rendez-vous avec une bonne amie. Je lui indique que je rentrerais tard ce soir et qu’il n’a pas besoin de m’attendre. Je ferme la boutique à clé, puis pars dans le coin détente. Je fais une petite sieste, je veux être en forme ce soir pour le dîner. Je mets le réveil à mon téléphone, et me voilà parti de nouveau dans des rêves érotiques. Les passagers du bus et Monsieur De Gonzac sont omniprésents. Tic, tac, tic, tac, dring, il est dix-neuf heures trente, la sonnerie de mon smartphone me sort du sommeil. Je patiente quelques instants, puis retenti le fameux moteur de la voiture allemande de mon amant. Il est habillé de façon très chic, sincèrement, j’adore, et en plus, ça rajoute un brin de sensualité dans notre union interdite. Nous nous embrassons, puis nous partons en direction de la brasserie. Le beau serveur italien nous propose une table qui est proche de la vitrine, nous nous installons, puis nous commandons un apéritif. Pour ma part, ça sera un kir royal, tandis que Monsieur De Gonzac prend un whisky. Nous discutons de tout et de rien, mais je sens bien qu’il n’est pas dans son assiette. Qu’il est tracassé par quelque chose. Je lui fais la remarque, mais il ne réagit pas. Nous ouvrons le carnet en cuir ...