Commande - Deux - Histoires de Sexe

Commande - Deux

... répondit pas. Alors j’interrompis mon va-et-vient et j’arrêtai de la branler. — Continue, supplia-t-elle, continuuue ! T’es un salaud, continuuuue !— Je continue si tu me dis que tu voudrais encore deux nouvelles queues. Elle se rebiffa encore un peu puis capitula : — Ouiiii… ouiiii… je veux biiiiien… mais qui ?— Il y a les deux gars des cuisines qui m’ont aussi parlé de toi, je pense qu’ils aimeraient bien te bourrer.— L’Antillais aussi ?— Quoi l’Antillais ? Il est super, ce gars ! T’es raciste ? T’as jamais été baisée par un Antillais, ce sera une première pour toi, et en plus, vu la taille de sa queue, tu ne seras pas déçue.— Tu abuses. Tu veux me faire baiser par tout le monde !— Abuser ? Ose dire que ça ne te plairait pas ! Je recommençai à la doigter et à la queuter. J’accélérai le mouvement. — Tu as du retard en queues, et en plus tu aimes ça ! N’est-ce pas ?— …— N’est-ce pas ?— Oui, salaud, ouiiii… Elle se débattit comme une furie, asphyxiée par l’orgasme, lorsque je lui giclai la chatte. Puis je fis comme elle avait aimé sur la plage : deux doigts bien droits dans la chatte, je la limai dans mon sperme. Elle devint folle, proféra des obscénités, puis se raidit et explosa une nouvelle fois. Le lendemain, il fit beau toute la journée. Le repas fut joyeux et débridé, sans la moindre allusion à ce qui allait se passer ensuite, mais que tout le monde avait à l’esprit. Gérard et Michel furent d’une gentillesse extrême avec Séverine et se tinrent correctement. Séverine ...

... était aux anges. Elle observa à la dérobée les deux gars des cuisines, dont Philémon, qui s’étaient joints à nous. Je la sentais supputer ce qu’elle allait trouver chez Philémon, après la pub que je lui avais faite. Elle respira plusieurs fois profondément. Je me levai : — Les enfants, il fait bien nuit, allons encore faire un tour à la plage. Qui me suit ? Michel et Gérard, se tournant vers Séverine : — Tu viens avec, n’est-ce pas ?— Est-ce que j’ai le choix ?— Oui, bien sûr…— Alors je viens. Et Michel, hilare : — En plus, on te promet qu’on ne te touchera pas. Séverine répliqua du tac au tac : — Alors, je reste ! Éclat de rire général. Tout le monde se dirigea vers la plage. En arrivant derrière la petite dune, nous entourâmes Séverine. Elle nous défia du regard. — Lequel d’entre vous commence ?— Moi, moi, moi…— Comme des gosses ! Prouvez-moi d’abord que vous êtes à la hauteur de vos prétentions. Fabuleux ! Séverine qui prenait la direction des opérations – je n’ose pas encore dire "les choses en main" mais, cela aussi, ça n’allait pas tarder… — Je veux voir. Les cinq shorts atterrirent illico sur le sable. Comme si une consigne avait été donnée, personne, sous son short, n’avait mis de sous-vêtement. Nous formions maintenant un demi-cercle autour d’elle. Elle paraissait fascinée par nos membres, les observant longuement sous la lumière blafarde de la lune, n’osant se décider, n’osant les toucher. Pour Séverine, mère de famille modèle, femme exemplaire, épouse fidèle, qui ...