Joues rouges & couilles bleues SP 03 - Histoires de Sexe

Joues rouges & couilles bleues SP 03

... je dois tout ce qui m'arrive. Alors que ce soit clair, aussi innocent que j'étais, si j'étais nu devant elle dans le but de lui présenter mon membre fièrement dressé en son honneur, incapable de lui résister: oui, ça aurait pris le pas sur le fait de me sentir tout frissonnant de bonheur pour son expression douce et sécurisante. Mais elle m'avait seulement laissé être nu car elle ne voyait rien en dessous de mon ventre dans cette position, il était trop tôt pour ça. Bref, pour que mes parties, dans tous leurs états, se reposent un peu; et que je puisse ressentir la symbolique supplémentaire de la nudité, à genoux face à sa grandeur. J'étais donc tout joyeux et gêné. Je me sentais entièrement protégé et chouchouté, après ce merveilleux teasing sous la douche, passé l'intensité de ce qui s'était passé avant. En effet, l'événement déclencheur de tout cela avait laissé la merveilleuse femme qui prenait soin de moi depuis plus d'un mois s'en donner à cœur joie, pointant et moquant l'érection que je lui présentais, aussi résistante que ma vie sexuelle avait été inexistante jusqu'ici. Après de si intenses heures et des mois à rougir et ne pas savoir ou me mettre: j'étais là, mon cœur pouvait se reposer, je pouvais ronronner tout haut, me lover dans ce petit monde tout doux composé d'elle, sa douce voix et son joli sourire. Sa main s'approcha de moi, les doigts entrouverts, je m'empressais de placer la mienne dessous. Elle était si belle, si gracieuse; ses ongles rosâtres étaient ...

... déjà si jolis avant de leur appliquer du vernis, ses doigts étaient si doux contre le dos de ma main, dont de petits poils se hérissaient à son contact. J'étais dans le vague, la tête toute prise d'un sort de ralentissement, ma peau frissonnait à des endroits aléatoires, et même si ça semblait inapproprié, mon sexe y réagissait parfois par quelques spasmes. Mais je n'y pensais plus vraiment, je ne voyais que ses deux jolies mains de toute façon, je crois qu'il ne faut pas interpréter ça plus loin que j'étais simplement au septième ciel, version innocente, mais au septième ciel quand même: j'allais enfin pouvoir laisser mon narrateur écrire ce que je meurs d'envie de ressentir depuis que sa grandeur me surplombe, tandis que mes lèvres s'approchent du dos de sa main: Enfin! J'étais à elle, sa chose à elle, sa petite chose à elle! J'étais aussi son pauvre puceau sans espoir incapable d'avoir les joues juste roses et les couilles au repos en sa présence, mais autant il est agréable de le rappeler brutalement ici pour jouer sur les deux facettes opposées de ma personnalité, autant il y aura bien le temps d'être ça plus tard! Je pouvais enfin être un gentil garçon servant sa merveilleuse princesse, et rien n'était si doux au monde! Je déposais un petit bisou sur le dos de sa main, coupant à peine le silence, et je relevais timidement la tête vers elle, un sourire innocent aux lèvres. « Ma princesse... » *** J'ouvris son premier flacon avec le même regard timide tourné vers son visage. ...