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Datte: 28/05/2019, Catégories: Gay
... reprit entièrement possession de mon corps et je me mis à pomper Patrick vigoureusement tout en le caressant de ma langue et en le mordillant.Au bout de quelques instants de ce traitement je sentis le pénis tressauter sur ma langue et l'homme jouit en râlant, son flot de liqueur gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice.Patrick se retira et je pus donner libre court au bonheur que je ressentais à sentir le gros membre de Marc coulisser entre mes fesses.Sous les coups de boutoir répétés que mon mec m'assénait je me sentis perdre complètement pied, j'avais la pastille complètement dilaté et je sentais une boule de feu prendre naissance dans mon bas ventre et venir exploser en mille lumières vers ma figure.Tout à ma félicité je me mis à onduler au rythme des assauts de mon amant tout en tendant ma croupe vers lui.Marc dit 'tu avais raison Patrick, cette salope baise comme une déesse, regarde comme elle se tortille sous moi.- Je te l'avais dit, cette poulette est un vrai trésor, c'est la reine des baiseuses'.J'étais tellement excité que le moindre contact me faisait frémir, Marc avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait en de larges coups de reins qui peu à peu m'amenait au septième ciel.Le gros membre de mon amant frottant contre mes parois embrasées me procurait de délicieuses sensations qui peu à peu me faisait perdre le sens des réalités.J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts répétés que je ...
... subissais.J'avais le cul complètement éclaté et de ma gorge ne sortait plus qu'un sourd et profond râle continu.J'avais noué mes jambes dans le dos de mon amant et la tête rejeté en arrière je m'abandonnai totalement à la volupté qui s'emparait de moi.Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec me possédait, chaque fois que la bite raide m'enfessait jusqu'à la garde je poussai des couinements de bonheur.Le plaisir que je ressentais était tel que je me tordais comme un damné sous mon homme tout en griffant les coussins.Marc me pilonnait maintenant l'arrière train à une vitesse folle, je me disais que si il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que ne voulais pas qu'il arrête.Je ne vivais plus que pour et par le fabuleux Priape qui me ramonait le prose et perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.C'est à cet instant que plantant sa pine au plus profond de mon rectum Marc jouit en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux me provoquèrent un orgasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la hampe qui se vidait en moi, mes jambes battirent l'air, je plantai mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux du plaisir.Marc se leva et je restai allongé, les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ...