1. La fibre ou la vie


    Datte: 28/05/2019, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance,

    ... immortaliser » l’instant. Julie, aveuglée par le bandeau ne se doute pas que sa complice engrange des souvenirs, que la situation, le décorum sur le lit, rendent plus qu’intime. Si j’avais un doute, il est balayé. À moins que Julie ? et je n’y crois pas, soit au courant et aie donné son accord. Ma femme n’est pas de ces adolescentes qui cherchent des « Followers et des Likes » en postant leurs exploits sur des sites ouverts à tous. Je pousse la porte sans bruit. Il faut quelques secondes pour qu’Astrid remarque ma présence. Le « T’aimes ça, cochonne, hein ? » qu’elle prononce alors que son regard me découvre vaut son pesant d’or. Évidemment elle est stupéfaite, comme paralysée, et cesse son jeu avec le gode. — T’arrête pas, je vais jouir. Reviens. Reviens, dit la femelle sur le lit poussant son ventre à la recherche du vibro. Je fais un pas. Astrid recule. Je vais vers elle et sans un bruit alors qu’elle craint qu’elle ne soit l’objet de ma colère, je lui prends le smartphone. En silence, je ramasse les habits qui jonchent le sol, attrape le sac à main sur la table de nuit et, au moment de partir, dis : — Je vous attends dans le salon. Je suis à peine dans le couloir que j’entends ma femme : — Jean ! Jean ! C’est toi ? Astrid, qu’est-ce qui se passe ? Détache-moi, vite, vite… Elles arrivent quelques minutes plus tard. Il a bien fallu détacher les liens avant de revêtir un peignoir. Astrid ne risquait pas d’apparaître habillée puisque j’avais « confisqué » ses affaires dans ...
    ... le but de la forcer à rester pour une explication. — Tu m’as menti. Tu me surveillais. C’est une honte. La meilleure défense, c’est l’attaque. Voilà ce que doit penser Julie alors qu’elle essaie cette tactique. — Asseyez-vous. Non, là, en face de moi. Sur le canapé. L’une à côté de l’autre que je puisse vous contempler. Je les regarde s’installer. Je reprends : — Non, je n’ai pas utilisé les caméras pour te piéger. Tu t’es piégée toute seule avec tes remarques, samedi soir.— Tu m’avais dit que tout était effacé au fur et à mesure. Tu m’as donc menti.— Non. Et je n’ai pas à me justifier. Pourtant je vais te dire. En te répondant, je n’avais pas pensé aux sauvegardes automatiques. Elle encaisse la révélation. — Tu veux dire que tout ce qui est filmé a été conservé… Pendant longtemps ?— Assez pour que je puisse dater la première fois que tu m’as fait cocu.— Ah ! Un silence s’établit. Chacun, surtout Julie, prend conscience ce que cela signifie. Astrid, si elle est silencieuse et manifestement inquiète, tente une porte de sortie. — Je vais vous laisser. Je ne peux que m’excuser auprès de vous, Jean. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Un moment de folie et puis après… vous comprenez… Il faut excuser Julie. Tout est de ma faute. On ne peut pas revenir en arrière. Il faut lui pardonner. Nous ne nous reverrons plus. C’est promis. Et puis avec une voix beaucoup plus douce : — N’en parlez par à Alain, s’il vous plaît. Il ne me le pardonnerait pas. Comme je ne réponds pas, elle continue : — ...
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