1. La fibre ou la vie


    Datte: 28/05/2019, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance,

    ... fellation. — Suce-le. C’est meilleur que nos jouets, hein ! Oui… comme ça. Je sais qu’il aime. Ton mari aussi certainement. Caresse-lui les couilles il adore… Voilà… Gobe-le bien… encore… encore… N’oublie pas qu’il doit te pardonner… Pendant tous ces encouragements, Julie pousse sur la tête d’Astrid afin qu’elle avance un peu plus sur mon mandrin. Millimètre après millimètre, les lèvres progressent. Chaque respiration est une pause avant qu’elle replonge. Les yeux se troublent, mais les lèvres rouges réussissent. Ma coquine de Julie a fait faire à sa copine ce qu’elle-même n’a jamais réussi à faire, me gober entièrement. Chérie, je m’en souviendrai pour la prochaine avec toi. Moi aussi je pourrai te pousser sur ma bite pour que tu me gobes et que tes lèvres butent et frémissent comme celles de ta copine que tu « encourages ». — Je viens. Je viens. J’annonce alors que je sens ma jouissance monter et se précipiter pour jaillir. Non, pas jaillir au grand air ! Ma femme ne le permet pas. Elle bloque Astrid afin que ma queue reste en bouche. Je sais, dans leurs confidences, les femmes se sont avouées accepter de recevoir le foutre de leur mari en bouche, que ma suceuse n’en est pas à sa première giclée. Et je me libère dans cette gorge offerte. Chacune de mes éjaculations est un plaisir. Astrid maintenant est libre de ses mouvements, mais elle reste ainsi, gardant ma queue alors que doucement ma tension diminue. Alors seulement elle m’abandonne et je ne sais si c’est elle qui ...
    ... va vers ma femme ou Julie qui va à sa rencontre, mais les deux salopes se retrouvent dans un baiser. Rien de plus pervers, rien de plus vicieux qu’un baiser où les amants échangent la liqueur de l’autre. Il m’en a fallu du temps pour accepter que Julie me fasse partager ce que je lui délivrais avec délice. Une appréhension ! Un dégoût ! Mais une fois accepté. Quel symbole. Quelle puissance ! Et voir ces deux femmes se partager avec obscénité mon foutre, passé de bouche-à-bouche, poussé par des langues agiles, me rend particulièrement heureux. Et que dire de ces coulures que leur fébrilité si excitante laisse suinter ? Quoi de plus dépravé que de remarquer sur ce visage de couleur les traînées blanchâtres, mélanges de foutre, de salive, traînés qui marquent encore plus la transpiration et les larmes de ma suceuse. Mais elles ne font pas que se partager ma liqueur. L’excitation est évidente. Elle est de celle que l’on peut avoir après un événement perturbant, et mon arrivée l’a été, une tension que seul le sexe peut atténuer en la remplaçant par le désir et la jouissance. Je vois des mains qui ne sont pas inactives. Ongles bleus et ongles rouges tracent leur chemin et parfois disparaissent dans la chaleur des cuisses. Julie bouge. En rampant, elle va s’asseoir sur la table basse qui a été repoussée contre le canapé. Ses cuisses écartées sont un appel. J’y découvre avec étonnement la lueur d’un reflet métallique. La salope n’a même pas enlevé le plug. La précipitation après mon ...
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