1. La fibre ou la vie


    Datte: 28/05/2019, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance,

    ... que sa complice reprend son souffle, toujours calée entre ses cuisses. Elle me sourit. Elle fait relever la tête de la chienne déclenchant la plus belle des cambrures. Elles échangent un baiser. Encore une façon, par l’échange de leur mouille de sceller une complicité. Mais aussi Julie dit dans un murmure que j’entends à peine : — Tu veux que Jean te prenne ? Regarde comme il bande pour toi. Elle tourne la tête. Ce qui se tient vertical, mât de chair qui se dresse hors de mes cuisses me semble plus imposant que d’habitude. Je suis assez fier, bien que je n’y sois pour rien, la nature ayant fait plus que sa part, de ma queue. Elle est belle, élégante, stylée et surtout longue, large et très dure en érection. Une dureté qui m’a posé un problème à mon adolescence, car si sensible que je crachais très vite, parfois trop tôt, avant d’avoir apporté le plaisir à ma partenaire. Mais j’ai appris à me contrôler et avec l’âge, je sais maintenant me retenir comme je veux. Le hochement de tête est une signature au bas d’un contrat. Julie maintient le visage de sa maîtresse tout contre le sien. Moi, je n’ai plus qu’une envie. La posséder. Prendre ma part de ce duo singulier, mais finalement si agréable à partir du moment où ce ne sont plus des vidéos avec la froideur d’un écran, mais une réalité bien chaude. Je pousse et j’entre. Le vagin est étroit, celui d’une adolescente ou d’une femme n’ayant pas encore enfanté. C’est étroit, mais humide, presque crémeux. Ma bite y découvre les ...
    ... traces du plaisir que mes caresses ont apporté. La cambrure est totale. Un creux entre deux vagues. Je la baise. C’est bon. On entend ma queue qui brasse et nos chairs qui claquent. Tout cela sur un grondement continu, à peine entrecoupé de soupirs et de respirations alors que je pousse mon mandrin au plus profond. Julie participe maintenant en caressant les seins de sa copine et la salope d’Astrid a tendu une main que je sens pour se caresser son petit bouton. Ma main gauche retrouve le chemin du petit trou. Mon pouce est entré en pays déjà conquis. Ma main se crispe sur les reins pour ne pas me gêner dans ma possession. C’est bon ! Vraiment bon ! Tout est plus sexe ! Le regard de ma femme. La peau sombre de son amie. La perversité de ce trio improvisé. En entrant pour les surprendre, j’étais loin de me douter de la suite. D’ailleurs qui l’aurait imaginée. On me l’aurait raconté que je n’aurais pas cru le narrateur. Et pourtant ! Pourtant c’est bien moi qui retire mon mandrin pour le plaquer dans la raie sombre. Cette tige rose, blanche, souillée de trace de plaisir tranche sur la peau sombre. Elle paraît énorme, disproportionnée. Difficile d’imaginer qu’elle sort de… difficile d’imaginer que ce petit trou que j’ai vu se refermer lorsque mon pouce s’est retiré, oui, difficile d’admettre que mon gland puisse… Et pourtant… Oui, la femelle souffle lorsque je pousse plus fort. Oui, j’entends un « Ohhh », vite avalé par le baiser de ma femme qui salue que mon gland force le passage. ...