1. La fibre ou la vie


    Datte: 28/05/2019, Catégories: ff, ffh, cocus, vidéox, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, yeuxbandés, confession, vengeance,

    ... peut glisser dans son vagin et dont elle se sert pour enfiler sa partenaire, jouant à l’homme, allant jusqu’à enculer. Les jours passent. Les femmes sont totalement libérées. Tous ces jeux les excitent, mais aussi les amusent. Pourtant le plaisir et la jouissance ne sont jamais loin. Je vois aussi qu’Astrid reste la vraie inspiratrice dans ces rencontres. C’est souvent elle qui « fait » l’homme. D’ailleurs cela se confirme lors de leur dernier rendez-vous. C’était vendredi dernier, la veille du repas et de ma découverte. Jour 11 – vendredi Elle a apporté d’autres jouets. C’est comme une mise en scène. — Je vais vraiment avoir l’air d’une pute avec ça, dit Julie. Astrid réplique avec un baiser appuyé : — Mais tu es déjà ma petite pute, n’est-ce pas. Elle continue avec un : — Pute et soumise. À partir de maintenant, tu vas m’obéir. Julie sourit et appuyant sur un ton d’obéissance. — Tout ce que tu veux, Maîtresse ! Astrid lui donne une claque affectueuse sur les fesses. Elle ajoute : — Rassure-toi, j’ai pris ta taille. Le spectacle est irréaliste. Je vois Julie se faire transformer. À mesure qu’elle met la lingerie, elle change. Ce n’est pas la première fois qu’elle porte de la lingerie coquine, j’ai déjà acheté des nuisettes, des strings, des corsets pour pimenter nos ébats, mais ici c’est plus que coquin, c’est carrément porno. Le soutien-gorge lui va bien. Sa poitrine généreuse est mise en valeur par cette demi-coque qui laisse les tétons et le lobe supérieur bien ...
    ... visibles. Le porte-jarretelles est un classique, mais la petite culotte, par ses fentes, un vrai pousse au viol. Suivent les accessoires. D’abord des bijoux à tétons qu’Astrid place après avoir longuement caressé les pointes pour les faire se tendre. Des faux piercings qu’elle place sur les petites lèvres. Les boules de geisha qui se glissent dans la fente et qu’elle teste en déclenchant des vagues de plaisir chez Julie. Un plug ridicule que le cul de ma femme reçoit facilement, mais dont l’extrémité imite la queue d’un animal. Enfin un collier avec une laisse. Collier fixé au cou de la « femelle soumise » qui se laisse travestir en souriant. Astrid prend la laisse et entraîne ma femme. Elles font le tour du salon, cortège surprenant de la « Maîtresse » encore habillée alors que sa « Soumise » est nue, plus que nue avec tout ce qu’elle porte. Et puis Astrid l’a fait mettre à quatre pattes et le cortège reprend. Le chemin est moins long. On dirait que la femme cherche le bon endroit. Elle le trouve. Elle déplace une chaise. S’assied en relevant sa robe. — Lèche, petite pute ! Julie, bien qu’à quatre pattes, humiliée et ridiculisée par son accoutrement, en particulier par ce qui lui sort du cul, sourit en avançant. Commence alors une longue séance de léchage. Séance entrecoupée de pauses lorsque la Maîtresse déclenche les vibrations des boules de geisha ou claque sans réelle violence les fesses de la chienne avec un martinet dont les brins paraissent bien soyeux pour faire réellement ...
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