1. Ma nouvelle vie d'étudiante à Montmartre (1)


    Datte: 28/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... réaliser, et j’en suis toute excitée. Il passe sa main dans mon soutien-gorge et me malaxe la poitrine, tout en continuant à m’embrasser. Puis sa main retourne sous ma jupe. Il enfonce une nouvelle fois deux doigts dans ma chatte humide et son pouce vient titiller mon clitoris. L’excitation monte en moi et je lui susurre à l’oreille : « Ma chatte n’attend que ta grosse queue ». Je me lève alors un peu du siège pour que Thomas puisse venir s’asseoir sous moi. J’humidifie son gland avec ma salive mais la cyprine qui coule déjà de mon vagin devrait suffire. Je prends son membre dans ma main et je descends mon bassin. Son sexe chaud vient en contact avec le mien. J’écarte un peu mes lèvres et j’insère sa bite dans mon puit d’amour. Je sens cette colonne de chair frotter contre les parois de mon vagin et remonter presque jusqu’au fond. Je refais quelques va-et-vient pour que sa queue puisse bien coulisser en moi puis je m’enfonce complètement sur lui. Ses mains sur mes hanches m’aident dans mes mouvements et bientôt c’est lui qui imprime le rythme de mes va-et-vient sur sa queue. Ça fait trois ans que je n’avais pas fait l’amour et c’est tellement bon de sentir enfin un homme me ramoner l’intérieur. Mais bien que j’ai envie de crier de plaisir nous sommes obligé de faire le moins de bruit possible. Ses mains viennent s’occuper de mes seins qu’ils adorent je crois, pendant que je me masturbe. Je crois que si nous avions pu faire plus de mouvements il serait déjà en levrette ...
    ... derrière moi. J’aurais bien aimé ça mais pour l’instant nous sommes condamnés à rester dans cette position. Nous en profitons encore quelques minutes puis soudainement nous entendons une voix derrière nous : « Eh, moi aussi j’ai droit à ça ? ». Nous arrêtons instantanément nos ébats et nous nous retournons. Le garçon du rang derrière nous s’était réveillé. Il regardait Thomas me baiser et apparemment cela devait lui plaire vu que sa main était dans son pantalon en train d’astiquer son manche. Une fois le moment de surprise passé, l’instinct de salope que je devenais reprit le dessus. Je lui chuchote : « Bien sûr que t’y as droit. J’ai hâte de toucher ta queue. Venez, on va à l’arrière. ». Je retire à contrecœur la bite de Thomas de mon vagin, remets mes vêtements en place et nous allons tous les trois au dernier rang du bus où je me place au milieu de mes deux amants. Ils sont cachés par les fauteuils de devant et peuvent donc sortir leur deux engins sans que personne ne les voit. Celui du nouveau garçon est un peu moins grand que celui de Thomas mais tout de même de bonne taille. Ces deux bites qui me sont offertes m’excitent fortement. J’en prends une dans chaque main et commence à les branler doucement. Celle de Thomas est encore mouillée de ma cyprine et je me lèche parfois les doigts pour avoir un peu du goût de ma chatte en bouche. En tout cas la masturbation que je leur donne doit leur procurer beaucoup de plaisir car ils ont tous les deux les yeux fermés, en train de ...