1. Oh! Je suis une putain ! (5)


    Datte: 23/06/2017, Catégories: Transexuels

    ... compte, mes jambes s’écartent et Mike donne quelques petits coups de reins en grognant. - Connard, soufflé-je entre deux baisers. - Ma chienne... Mon rythme cardiaque s’emballe... putain qu’est-ce qui me prend ! Le fait qu’il dise « MA chienne » me met dans un de ces états ! Penser que je lui appartiens, que je suis SA chienne me fait rougir de plus en plus. Mike le remarque et affiche un sourire des plus sexys, me faisant gémir davantage dans sa bouche. - Tu la sens ? demande-t-il pour me taquiner. - La barre entre mes fesses tu veux dire... ? Je passe ma main sur sa joue occupée par une barbe de trois jours et je sens sa queue glisser entre mes fesses qui commencent à transpirer, lui facilitant le travail. Je suis à sa merci, qu’est-ce qui m’a pris de venir ! Je voulais le blâmer, pas lui offrir mon cul ! C’était une mauvaise idée de mettre ce jeans... - Ah Mike ! soupiré-je quand il me pénètre, j’avais oublié qu’il était aussi bien monté. - T’as tardé, ma queue t’a manqué ? - Ferme-la... mhmmmm. ** LA VEILLE ** : - Merde ! fait Mike en se retirant de mon cul, après avoir déversé une grande quantité de sperme dans mon trou mouillé. Tu dois y aller Laïka. - Quoi ?! Cette question est inutile car j’ai compris. Je rajuste ma robe en me dandinant comme je peux sur mes talons, et je me précipite pour sortir du balcon où de petits escaliers mènent sûrement à une porte de sortie. - Je suis désolé, lance Mike en faisant coulisser la fenêtre du balcon derrière moi. Je n’en ...
    ... reviens pas ! Je prends une profonde inspiration et je descends les petites marches en évitant de trébucher. Une fois arrivé en bas, je déambule le long d’un couloir caillouteux cerné par des feuilles de tilleul qui caressent les parties nues de mon corps. J’esquive tant bien que mal ces branchages, et au bout de ce couloir, une grande porte verte qui semble ne s’ouvrir que de l’intérieur me fait face. Je tire sur la barre métallique à ressort et je me retrouve dehors, après que la porte se soit refermée derrière moi en un grincement angoissant. Mon cœur s’emballe. Putain je suis en pleine rue ! Habillé en femme ! Et si quelqu’un me reconnaissait ? A première vue, personne ne semble regarder en ma direction, peut-être se disent-ils que je suis vraiment une femme... Pourquoi ça me flatte !! Je cherche une quelconque station de bus, j’en aperçois une à quelques mètres de là où je suis. J’arrive à garder un air naturel, malgré mon cul serré par cette robe qui m’a l’air beaucoup plus étroite qu’auparavant. Elle galbe parfaitement mon corps fin, ma chute de reins montre parfaitement chaque détail de mon cul qui vibre à chaque pas, et pour ne rien arranger je suis obligé d’arquer légèrement mon dos en marchant pour éviter de perdre l’équilibre sur mes talons. Soudain, j’oublie de marcher comme un garçon, je me surprends à faire des pas plus grands en ayant l’assurance d’une femme... Je caresse mes cheveux et je regarde autour de moi. Un quinquagénaire accompagné de sa femme n’a pas pu ...
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