1. Christine IV : Turpitudes adultères (3)


    Datte: 30/05/2019, Catégories: Hétéro

    Ainsi, durant les quatre premiers mois du l’année 2013, Christine et moi n’avons eu qu’un seul rapport. Ce n’était jamais le bon moment. Ou elle était fatiguée, elle n’avait pas envie. Durant le mois de mai, j’ai essayé de provoquer des discussions, honnêtes et ouvertes. Soit Christine les évitait, soit elle s’emportait. Je lui ai également fait part de mon désarroi devant la situation, ne sachant plus comment m’y prendre. Cela n’a eu aucun effet. Un an après l’épisode Sandra, nous en revenions au même point. J’étais à bout. Si Sandra avait quitté l’entreprise à la fin de l’année 2012, son poste avait été repris par Monica, 43 ans, une italienne aux longs cheveux noirs. Dotée d’un fort caractère, Monica ne s’était pas faite que des amis parmi mes collègues. Pourtant, j’avais beaucoup d’affection pour cette écorchée vive. Elle avait demandé mon appui pour l’aider à réviser pour un examen, cela avait largement amélioré nos relations et petit à petit, nous nous étions ouverts l’un à l’autre. Elle connaissait mes problèmes de couple, je connaissais le chômage de son mari qui lui pesait de plus en plus sur les nerfs, car selon elle, il manquait de dynamisme et de volonté pour retrouver un emploi. Sa présence à la maison devenait difficile à supporter pour cette habituée du temps partiel. Avec le retour des beaux jours, les tenues de Monica raccourcissaient et j’avais de plus en plus de mal à résister, d’autant plus que nous nous voyions plus souvent pour réviser durant les jours ...
    ... précédent l’examen, agendé au vendredi 1er juin. Sa réussite m’avait ravi et Monica m’avait invité au restaurant. Notre première sortie en soirée. Nous nous étions donnés rendez-vous dans le parking du fitness qu’elle fréquentait assidument et étions partis avec ma voiture dans la ville située à 50km de la notre. Elle portait une top noir moulant et une jupe droite rouge et fendue, qui m’avait contraint à de fréquents coups d’œil durant le trajet. La soirée, le souper, s’étaient déroulés le plus naturellement du monde jusqu’à cette question de Monica alors que, sortant du restaurant, nous nous tenions côte à côte sur les remparts de la ville : — Est-ce qu’il y a des jours où tu n’as pas envie de rentrer chez toi ? Elle ne m’avait pas laissé répondre. Le regard toujours perdu dans le lointain, elle avait enchainé : — Certains soirs, après le travail, je n’en ai aucune envie. Pas envie de le retrouver avachi sur le canapé, pas envie de le voir, pas envie de me battre. Je sais que je vais me mettre en colère, qu’on va s’engueuler, que je vais gueuler sur le petit pour une broutille. Ça me fatigue vraiment. J’avais avoué à mon tour : — Je n’en ai pas envie non plus des fois, mais pas pour les mêmes raisons. Je sais que je vais avoir la désagréable sensation d’être son colocataire, qu’elle va s’occuper à merveilles des enfants mais me mettre de côté. Je vais avoir envie d’elle et elle ne va pas vouloir. Ses refus, à la longue, ça me fait tellement mal. Elle s’était alors dévoilée ...
«12»