1. Ma naissance en homosexualité


    Datte: 30/05/2019, Catégories: Première fois

    ... On vient vous prévenir, préparez-vous ! On reviendra demain. Ils ont traversé le dortoir, aller-retour, pour remonter à leur étage. Je me suis relevé sur mes coudes pour les regarder passer. C'est là que je l'ai reconnu. Ce cul ! Jamais je n'aurais pu l'oublier ! J'ai recommencé à rêver de lui. Je le voyais, le slip baissé, me tendant sa bite. Moi, j'entrouvrais mes lèvres. Il s'approchait de moi, la glissait sur ma langue. Je refermais ma bouche sur le sublime attribut. Alors, il passait ses mains derrière ma nuque et s'activait. Ses hanches poussaient sa bite raide comme un gourdin, au fond de ma gorge,d'avant en arrière, de plus en plus vite. Puis, au bord de l'éjaculation, son pubis vint se coller à mes lèvres. Un sursaut de ses hanches, et un gémissement ponctuèrent le jet de sperme que j'avalais goulûment. Quand ce fut fini, avec ma langue, je nettoyai le membre adoré. Il se pencha alors à mon oreille et murmura ; - Demain, je t'encule... Et, effectivement, le lendemain, il revint. Il souleva les couvertures pour se glisser dans mon lit. J'étais à poil, tourné vers le mur, les fesses offertes. Avant de s'allonger, il se pencha vers mon cul, écarta mes fesses et me souffla : - Je vais te lubrifier, comme ça t'auras pas mal... J'ai répondu : - Plus lubrifié que ça, c'est pas possible, répondis-je. Je m'y suis mis avec mon doigt, toute la nuit, en t'attendant. Il s'allongea sous les couvertures, les hanches collées à mes fesses. J'ai attrapé son ...
    ... manche, et j'ai collé son gland sur mon trou. Il m'a alors attrapé par la taille, et d'un solide coup de reins, il s'est enfoncé en moi. Il a déposé un baiser dans mon cou, puis s'est activé. D'abord lentement, histoire de me faire sentir la taille de son instrument. Il a senti mon léger trésaillement. Galvanisé par ma réaction, il s'est rué. Il a attrapé ma bite et s'est mis à me branler. Quand sa bite s'enfonçait dans mon cul, la mienne faisait le même chemin dans sa main. Finalement, nous avons joui ensemble. - Je sais que tu aimes te montrer...Si tu veux que tout le monde sache que je te baises, t'as qu'à crier. Je me suis remis à genoux. Il fit de même, sans sortir de mon cul. J'ai alors poussé un gros gémissement. Les éléves qui dormaient à proximité s'éveillèrent. Ils n'en croyaient pas leurs yeux. Pourtant, il en est un qui a profité de la situation. Hubert s'est approché, m'a pris par les cheveux, a relevé ma tête, et m'a plongé sa bite dans la bouche. Il s'est activé entre mes lèvres. Alors, soit il avait déjà fait ça avant, soit il nous épiait depuis un moment. Gilles, c'est son prénom, m'a baisé toutes les nuits, pendant deux ans. De temps en temps, quand il partait dormir, Hubert venait prendre sa place. Vous allez dire, mais il dort quand ? Ben pendant les cours ! Du coup, j'ai raté mes études. J'ai appris un métier, trouvé un emploi, où j'ai retrouvé....Gilles ! Nous avons repris nos joutes, puis un jour, il a disparu, sans laisser de traces. 
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