1. Il était un petit navire...


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, ff, fhhh, fplusag, vacances, gymnastiqu, bateau, vengeance, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... miennes et je m’attends à ce qu’elle devienne plus audacieuse ; pourtant, c’est pour les laisser glisser sur ma joue, dans le pli délicat du cou où elle s’attarde un instant, le long de mon épaule où elle repousse la manche et s’engage vers le chemin que je pressens. Il faut que je réagisse. Je ne peux pas la laisser faire. Un homme, d’accord ; mais une femme, non. Jamais je n’ai eu cette idée ou ce fantasme. C’est impossible. Impardonnable. Je n’ai rien contre, pour les autres si elles aiment, mais moi… Ohhhh ! Sa bouche frotte mon globe… Elle s’empare de mon mamelon et l’aspire. Le coquin n’a pas de crise de conscience, il aime. Il gonfle et… une main enveloppe mon autre sein… des doigts étirent le téton. Il ne réagit pas, ou plutôt il réagit comme son frère. Me voici soumise à leur volonté. Des ondes de plaisir remontent à mon cerveau et un flot d’hormones provoque un gémissement que je m’entends expulser sans mon autorisation. Est-ce moi qui penche l’autre épaule pour que la robe tombe ? Non, c’est une inconnue. Pourtant Hanne prend tout cela comme un accord, et tout en continuant de caresser ma poitrine, sa main libre vient se glisser entre tissu et pubis. C’en est trop. Je ne suis pas une femme qui se laisse cueillir par une gamine, même experte et agréable. Mon ventre va chasser cette main qui s’incruste. Une poussée et… Ahhhhh. C’est la rébellion. Ma chatte miaule de ce doigt qui la caresse, non pas sous le cou comme pour un félin, mais à la lisière de la fente, ...
    ... déjà engagée dans ces contrées humides qui s’agitent. Ma culotte n’est déjà plus qu’un chiffon ; la femme est agenouillée devant moi me force à m’asseoir sur la table. Je rends grâce au moment où ses lèvres touchent les miennes, les autres, les petites, autrement plus fragiles et délicates même si elles transpirent aussi, mais d’autre chose que de la salive. La salive, c’est celle de Hanne, qui découvre que la femme que je suis ne sait pas ce qu’elle veut. Que ses réticences ne sont que de pure forme, sinon, pour quelle autre raison que l’envie trouverait-elle ma fente si luisante et grasse ? En ouvrant les cuisses pour livrer le passage de mon intimité à ma maîtresse d’un soir, je comprends que tout est joué. En plus, je découvre Arne à l’entrée de la cabine, qui se régale de ce spectacle. La bouche n’est que l’avant-garde d’une langue qui m’explore, traçant des sillons de mon petit bouton à mon anus tout étonné de cet intérêt. C’est doux, délicat, différent des léchages d’un homme. Bien sûr, je peux comprendre qu’une femme soit particulièrement informée de ce qui est bon pour une consœur. Même ses mains savent où jouer sur mon corps. On dirait que ma peau est devenue un piano où des yeux experts trouvent les touches, enchaînant des plaisirs crescendo. Je jouis. Oui, je jouis et force la tête à de plus profondes caresses. Mes seins sont gonflés avec des tétons si sensibles que le moindre tiraillement déclenche du plaisir. Que c’est bon… J’enchaîne jouissance sur jouissance et ...
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