1. Il était un petit navire...


    Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, ff, fhhh, fplusag, vacances, gymnastiqu, bateau, vengeance, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... purée au prof avec une vitesse qui me rend fière de mon ouvrage. Il a eu la délicatesse de sortir de ma gorge avant d’éjaculer. J’ai le visage plein de son foutre et Arne en a bien reçu aussi. Cela doit lui faire un drôle d’effet ! Mais de toute façon, chacun a ses propres occupations. Mon cul aussi est inondé et, bordel, que c’est bon ce liquide qui me rince ! Moi je ne sais plus si c’est du cul ou si c’est du con, mais je jouis. Et je jouis encore dans un orgasme gigantesque lorsque Jens, déjà familier des lieux, me jute au fond de la matrice. oooOOOooo Myriam m’accompagne pour rentrer. Elle doit se sentir responsable de moi. Elle ne cesse de me dire « Eh bien, ma cocotte, tu caches bien ton jeu ! » Toute la nuit je rêvasse. Les deux petites voix bataillent dans ma tête. Celle du remords et de la vertu me traite de tous les noms : catin, pute, salope, cochonne. Elle ose aussi affirmer que le cocufiage par mon mari n’a été que le prétexte pour donner cours à tous mes vices. Que mon comportement n’est pas normal. Que je dois me faire soigner. Une nymphomane qui s’ignore. L’autre, plus pragmatique, me trouve des excuses. Bien sûr, l’infidélité de mon mari, mais surtout le désert sexuel que j’ai ressenti lorsque Myriam s’est livrée à ses débauches. Aussi le goût de la compétition. Moi aussi, je suis capable de baiser avec plusieurs hommes, de leur vider les couilles et de jouir à n’en plus finir. Mais elle me dit aussi de tout bien me rappeler et de cacher tout ceci au fond de ...
    ... ma mémoire pour ne le ressortir que les jours de déprime. Mais encore, que je dois tourner la page. De telles orgies ne sont pas de mise dans ma maison… Le voyage du retour est assez silencieux bien que Myriam, manifestement impressionnée par ma prestation, ne demande qu’à échanger. Train, avion, train, bus. Toute une succession de transports. Mais c’est dans le taxi qui va nous déposer près de chez nous que Myriam me demande : — Et maintenant, qu’est ce que tu vas faire en rentrant ?— Faire, faire quoi ?— Avec ton mari, je veux dire.— Ah, ça !— Tu vas lui dire pour toi ?— Certainement pas. Et ce n’est pas toi qui vas lui en parler, n’est-ce pas ?— Tu peux compter sur ma discrétion. Donc tu vas faire comme si tu ne savais rien. Tu t’es vengée. Vous êtes quittes.— Oh, que non ! Je vais le confondre, et je te promets qu’il va passer un sacré quart d’heure. Au fait, comment s’appelle sa maîtresse ? Tu ne m’as pas dit son nom, à cette pouffiasse !— Eh bien… euh…— Rassure-toi, je m’arrangerai pour qu’il ne sache pas que c’est toi. Alors ? Myriam semble vraiment mal à l’aise. — C’est-à-dire… Il faut que je te dise quelque chose.— Quoi ?— En réalité, je ne connais pas son nom… Même, je dois dire que je n’ai aucune idée de si ton mari a une maîtresse ou pas. En tout cas, je n’ai jamais rien entendu sur le sujet.— Tu…— Je t’ai menti. Mais c’était juste pour te décoincer un peu.— Mais les appels chez moi qu’il ne décrochait pas ?— En réalité, je n’appelais pas chez toi, mais chez moi. ...