Il était un petit navire...
Datte: 26/08/2017,
Catégories:
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Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
... mes aventures. D’ailleurs je n’ai pas l’habitude des aventures. Mais je ne doute pas que l’information circule. Petite visite à terre avant que le bateau prenne le chemin du retour. Demain matin nous serons à Venise, et puis ce sera le vol pour la France. Ce soir je suis invitée à la table du commandant. Il paraît que c’est la tradition. Myriam a refusé. Les mondanités la gonflent, elle préfère profiter de sa dernière nuit à bord. Pas la peine de se creuser pour imaginer ce qu’elle appelleprofiter. La coquine… En tout cas, elle aura été une charmante coloc. Sa jeunesse, sa spontanéité et sa totale liberté m’ont fait du bien. Bien sûr je me fais belle. Il va y avoir du beau linge. Mais après tout, je n’ai pas à avoir honte. Cette nuit m’a apporté la preuve que je n’ai pas besoin d’artifices pour plaire, même à un plus jeune. Avant de monter au restaurant, j’appelle mon mari. Il est chez nous. Il est impatient de me retrouver, tard demain soir. Il me fait sentir que je lui manque et qu’il espère rattraper notre retard. Retard de sexe, bien entendu. Incroyable comme il ment bien ! Pour moi, c’est plus facile ; je ne mens pas, tout simplement j’occulte. Le repas est agréable, très "Vieille France". Le commandant est assez bel homme. Nul doute que s’il le voulait il pourrait trouver une âme-sœur chaque soir. Après, je rejoins le groupe à la discothèque. Je ne trouve qu’Arne et sa femme. — Où sont vos amis ? Myriam n’est pas là ? C’est la femme, Hanne, qui me renseigne : — Myriam ...
... est avec un prof de gym.— Ah, elle a décidé de finir en beauté ! Et vos amis ?— Ils l’ont suivie.— Ah… Ils doivent prendre mon "Ah" comme un regret ; toujours est-il qu’ils continuent : — Justement, nous t’attendions pour aller les retrouver. Le prof nous a donné le code.— Le code ?— Oui, pour entrer dans l’espace "sport". Ils sont là-bas. On y va ? Je ne vois pas l’intérêt d’aller se balader de nuit dans un lieu désert. — Non, allez-y sans moi. Demain on doit se lever de bonne heure. C’est Hanne qui réagit. Elle se lève, et alors que je crois qu’elle va me dire "bonne nuit", elle me glisse à l’oreille : — Diane, c’est notre dernier jour. Il faut savoir apprécier chaque chose comme si c’était la dernière. Allez, viens. Sur ce, elle me prend par la main et m’entraîne. Que faire, si ce n’est me laisser guider, même si je trouve que cette visite va être glauque ? J’avais raison. Les salles sont désertes. Même pas de personnel de nettoyage. Les instruments de muscu se transforment en monstres mécaniques sous la blafarde lumière de sécurité. Nous errons comme des âmes en peine, mais Hanne ne lâche pas ma main. Arne suit, docile. Après quelques minutes de balade, nous voyons enfin un peu de lumière. Elle pousse la porte. C’est une salle de décontraction et de massage ; en réalité une succession de boxes où j’imagine que des masseuses relâchent les muscles de ces pauvres malheureux, littéralement épuisés et torturés par des crampes parce qu’ils ont trop forcé. Ah, je me sens bien ...