1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (10)


    Datte: 31/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... au-dessus de la norme. — Est-ce bien sérieux Tatie tout cela ? Plaisantai-je en guidant mon sexe vers sa cage dorée. — Mais oui et c’est bien ce que tu voulais… Me sauter toute la journée, pas vrai ? — Détends toi, c’est le meilleur moment. Lui dis-je alors que ma verge aux veines saillantes longeait peu à peu son canal fiévreux. — Hum…Gémit-elle en me recevant graduellement. — T’es devenue ma chérie. En débutant des mouvements profonds, puissants et soutenus. — Oui je suis ta chérie… Bredouilla-t-elle en se faisant peloter ses superbes nibards. Je la limais cinq bonnes minutes, profitant de chaque instant en passant mes mains le long de son dos cambré. Puis vint le moment de grâce. En la saisissant par les hanches, Véronique ne put s’empêcher de pousser de petits cris. — Oh oui…Oui ! Oui ! S’étouffa-t-elle pour ne pas hurler. Une fois encore je parsemais d’étoiles le corps de ma tante. Une fois encore j’avais entre mes bras son corps qui tremble. Une fois encore nous exagérions la fréquence de nos rapports avec ses enfants présents à l’étage… — Oh c’est trop bon avec toi, c’est trop dingue… Soupira-t-elle en se délectant de sa ...
    ... jouissance qui s’amenuisant lentement. — Oui t’es dingue à baiser ma Tatie d’amour. En caressant la peau lisse de son ventre en enveloppant sa poitrine ardente. — Je sais mon chéri… Après un long baiser, Véronique regagna l’étage en me souhaitant bonne nuit. Dorénavant, le cap était franchi et j’ajouterai que Véro s’était affranchie de toutes les barrières nous concernant. Notre relation tante-neveu avait pris la forme d’une relation entre un homme jeune et une femme mûre, épanouie. Ma tante me parlait comme si j’étais son homme, faisant totalement abstraction de mon statut de neveu, de notre lien de parenté. Les jours passèrent avec la même fréquence dans nos rapports sexuels. Je sautais ma tante à chaque occasion, n’essuyant jamais un refus de sa part, bien au contraire. Nous nous permettions tout avec un seul bémol, Oscar et Jules. Finalement, heureusement qu’ils étaient là sinon nous aurions baisé du matin au soir. Les jours défilèrent et j’aurais aimé arrêter le temps. Mais je n’étais pas Dieu. Dommage. Un mail comme convenu arriva nous précisant les billets d’avion à prendre pour Genève. Une autre aventure débutait, palpitante mais risquée… 
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