La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°733)
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°729) - Lorsque le Maître et moi, Son chien tenu en laisse et à quatre pattes, retrouvons la grande pièce où les Dominants ont dîné, celle-ci s’est profondément métamorphosée. La grande table ovale a disparu, des sièges sont disposés en demi-cercle devant une grande estrade. Un immense rideau en velours noir, descend du plafond et recouvre partiellement cette scène improvisée. Les Maîtres et Maîtresses sont encore debout, ils discutent entre eux, par petits groupes. L’ambiance est feutrée, l’éclairage est vacillant, juste ici ou là des bougies apportent un peu de clarté et de lumière et procure une ambiance plus intimiste. Mes yeux s’habituent lentement à la semi-obscurité, et lorsque j’arrive à distinguer plus nettement, je m’aperçois que le vice est ici partout : les bougeoirs ne sont autres que des esclaves utilisés à cet effet et même que les bougies ont la forme de phallus dressés ! Certains sont maintenus attachés sur le dos, jambes relevées sur leur poitrine, cuisses écartées, cul par-dessus tête. Les femelles tiennent un cierge enfoncé dans leur chatte, les mâles dans leur cul. D’autres sont à genoux, parfaitement immobiles, des luminions sont posés sur leurs cuisses et sur leurs épaules. - Tu vois à quoi tu as échappé Ma salope ! me lance alors le Maître en m’approchant d’une soumise. Je vois en effet. La posture doit être éprouvante, la cire commence à couler le long de la bougie et à ...
... s’étaler sur les grandes lèvres de celle affligée. Mais impossible pour elle de remuer et de bouger, elle doit accepter le traitement sans mot dire. A bien la regarder, elle semble dans un état particulier, comme transportée, hors d’elle-même, comme soustraite aux modalités du monde sensible en découvrant par une sorte d’illumination certaines révélations, d’une réalité transcendante essentielle. Elle parait plongée dans la béatitude de l’extase les plus parfaites. Elle se mord les lèvres, gémit doucement, en fermant les yeux et dodelinant de la tête, elle semble jouir mentalement en cette position immobile… - Mesdames et Messieurs, s’il vous plait, pouvez-vous maintenant vous assoir, le spectacle va commencer ! dicte un homme debout sur l’estrade, habillé en Monsieur Loyal. Les Dominantes et Dominants regagnent leur place, alors que moi et cinq autres esclaves sommes entrainés dans ce qui pourrait être appelés les coulisses… Je ne sais pas à quelle sauce nous allons être mangés. Là un homme et une femme nous prennent en charge, les trois mâles d’un côté, les trois femelles de l’autre. Bien évidemment au passage, des mains baladeuses glissent entre nos jambes, nous flattent et nous tâtent. Mes couilles sont comprimées et serrées douloureusement. Je reste stoïque, ne bouge pas d’un iota, au contraire m’offre un peu plus encore. Monsieur Loyal en scène, en maitre de la piste, tel un chef d’orchestre, annonce : - Mesdames et Messieurs, Chères Dominantes et Chers Maîtres, nous voici ...