L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 49)
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... savourant tous les plaisirs d’excitation quand soudain, Ocypète jouissait de cette douce caresse buccale, toute simple, si naturelle, offrande passionnée d'une esclave qui n'attendait rien d'autre, n'aspirait à rien sinon au plaisir de La divine créature … Ocypète fit de nouveau allonger Hélène, venant s'asseoir au-dessus d'elle, chevauchant son visage. La dominatrice ne se lassait pas du plaisir qu'elle prenait ainsi, le visage de son esclave entouré de ses cuisses, enfoui dans son intimité chaude et humide... Elle frotta longuement son sexe contre ce visage, cette bouche de l’esclave, puis elle jouit une nouvelle fois et demeura un long moment ainsi, immobile, assise sur le visage d’Hélène dont le sublime corps gisait derrière elle, les jambes tremblantes, le sexe inondé mais inassouvi... Immobile, Hélène releva les yeux et regarda la nuit, ce ciel noir d’encre, parsemé d'étoiles brillantes, elle laissait la brise légère envelopper son corps nu... Elle humait le parfum de cette brise et de sexe mêlés, loin de toutes les manigances des hommes … mais pas du dieu Apollon ! En effet, Celui-ci qui l’avait offerte, elle, Hélène, son épouse mortelle, pour des plaisirs saphiques lesquels Ocypète ne se lassaient visiblement pas... Et pourtant, il lui semblait ...
... qu’au zénith de ce sombre firmament de cette douce nuit étoilée, juste au-dessus de sa tête, une magnifique étoile brillait plus que les autres, une étoile qui lui paraissait plus grosse, plus proche, plus présente et c’est à ce moment-là, qu’elle ressentit un puissant sentiment d’être observée, surveillée mais aussi protégée par cet astre lumineux qui lui laissait cette nette impression qu’elle était en la présence Divine du dieu Apollon ? Pour la Belle Hélène, aucun doute là-dessus ! Et c’est ainsi, apaisée, sereine sur sa propre destiné, se sentant plus que jamais rassurée, qu’elle baissa la tête en guise d’humilité sous le regard, sans aucun doute, de la divinité étoilée… Sur elle, Ocypète ne bougeait pas... Le visage inondé du plaisir de sa Maîtresse, Hélène s'abreuvait à cette inépuisable source. Elle ne sentait pas la griffure des écorces dans son dos, mais entre ses cuisses vibrait une onde de désir ininterrompue, tant son corps avait été sollicité, excité, manipulé sans qu'elle n’eut jamais pu assouvir ce qui enflammait sa plus profonde intimité… Au bout d’un moment Ocypète se leva et fit asseoir la Belle Hélène, la femme-oiseau se mit sur ses quatre pattes, qui avaient retrouvé leurs grilles, à ses côtés et l’embrassait avec volupté … (A suivre …)