Une star pas comme les autres...
Datte: 01/06/2019,
Catégories:
fh,
Oral
policier,
... caler les « stops » et ça ira. Sympa, le prince. Ça te dit qu’on se marie ici ?— Pourquoi pas… mais étape par étape. D’abord, la date, ensuite, le lieu, et en premier, le concert.— Toujours aussi pragmatique, le Julien. Tu as raison, cependant. Procédons dans l’ordre. Direction Nikaia, chauffeur. Et pas de main baladeuse ! Nous sortons de Monaco, direction l’A8. Après le péage de La Turbie, une longue descente. Je sens la main de Marlène s’immiscer entre ma ceinture de pantalon et mes abdos, se faufiler entre mon ventre et l’élastique de mon caleçon, pour enfin m’attraper doucement le sexe. Je tourne un peu la tête et crie : — On avait dit pas de main baladeuse !— Toi, pas moi ! Marlène continue à me peloter le sexe, qui commence à durcir. Pas évident de conduire un deux-roues dans ce cas de figure. — Fau… Je ne comprends rien à ce que me dit Marlène, avec le bruit du moteur et celui du vent. — Quoi ? Elle ouvre sa visière et me crie : — Faut que je te vide bien si je veux pas que tu sautes sur Diane !— Pas maintenant ! Et pas Diane.— Quoi ?— On parlera tout à l’heure. Je lui attrape le poignet et sors sa main de mon pantalon. Enfin, nous franchissons le péage de Saint-Augustin, et rentrons dans le complexe Nikaia. Les gendarmes nous ouvrent la barrière, Marlène leur envoie un baiser avec sa main. Enfin, nous sommes de retour dans sa loge. — Tu veux qu’on ait un accident ou quoi ? C’est dangereux de branler le pilote d’un deux-roues, tu sais… Une question d’équilibre et ...
... d’attention…— C’était pas agréable ?— Si, beaucoup… Dangereux ET agréable. C’est quoi cette histoire, j’ai entendu « Diane », mais je n’ai pas tout compris…— Je disais qu’il fallait que je fasse quelque chose pour que tu ne sautes pas sur Diane.— Tu te fiches de moi, donc…— Oui. J’adore te taquiner. Et puis, si je ne veux pas que tu sautes sur Diane, j’ai une autre solution.— Des ciseaux ?— Non, mieux. Ça ! Elle me tourne le dos, baisse son pantalon, sa culotte, pousse les assiettes de la table, et se met à plat-ventre dessus, bras croisés autour de sa poitrine, fesses en l’air. — Voilà, je suis ta femme. Prends-moi. Vu sous cet angle… J’enlève mes chaussures, chaussettes, pantalon et caleçon. Je m’approche d’elle, prends mon sexe en main, l’avance devant son sexe, me positionne bien, et d’une poussée, me voilà en elle. Je commence à la pilonner doucement. — Ce matin, c’était pour moi. Maintenant, c’est pour toi. Fais comme tu as envie, ne t’occupe pas de moi. Ses fesses sont sublimes. Je vois mon sexe entrer et sortir de son ventre, de plus en plus vite. Elle halète. Je décide de prendre mon temps, la sensation étant trop agréable, il faut en profiter. Je ralentis la cadence, et augmente l’amplitude. Marlène gémit doucement, puis plus fort. Pendant plusieurs minutes, je profite du ventre de Marlène. À un moment, je sens qu’elle jouit et qu’elle se retient de crier. Je continue encore, le plus profond que je peux. Marlène a les yeux fermés, elle sourit. Enfin, je sors du sexe de ...