Les trois voyages
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
ffontaine,
... ta queue dans mon cul. Baise-moi ! Une fois totalement entré, je commençai un léger va-et-vient. En réalité, mon sexe bougeait dans sa propre peau pour ne pas la faire souffrir et pour garder bien au chaud mon petit cadeau final. Je me retirai doucement, laissant son orifice béant, épanoui comme une belle rose un matin d’été. Je ne pus m’empêcher d’y poser un baiser de reconnaissance pour le beau cadeau qu’elle venait de me faire. Pour passer à l’étape suivante je la retournai. À genoux, la tête reposant sur ses avant-bras, elle me présentait à nouveau ses deux orifices. Le premier se refermait tranquillement en se contactant à rythme régulier. Le deuxième s’offrait à moi dans une humidité abondante, les lèvres gonflées, rouges des plaisirs déjà vécus. Elle attrapa mon sexe et avec empressement l’introduisit brutalement dans son vagin. — Vas-y, lime-moi, baise-moi ! Je veux sentir ta queue au fond de mon con. Bien rentré, les couilles frottant ses fesses, je commençai le va-et-vient qui devait nous amener à une jouissance simultanée. Comme son petit trou m’implorait de son regard cyclopesque, je ne résistai pas à l’envie d’y introduire un pouce lubrifié par ma salive. Cette pénétration non prévue eut pour effet de la faire se cambrer, et à son sexe d’absorber un peu plus mon membre. Moi, je sentis mon sexe vibrer dans le sien du bout de mon pouce. J’accélérai le mouvement tout en essayant de contrôler la situation. Elle se mit à râler de plus belle, à bouger son bassin de ...
... haut en bas, à frotter son petit bouton de sa main libre puis à la faire descendre pour prendre mes couilles et les masser. Elle n’était plus qu’une machine à plaisir ; son plaisir, le mien. Il fallait impérativement que je reprenne le dessus ; mais soudain l’orage est de nouveau arrivé. Elle a crié son plaisir, tendu son corps. Les muscles de son vagin sont entrés en action rapide. Elle dévorait mon sexe, le pressurait, voulant en tirer toute la semence. Et moi je luttais car j’avais le projet de décharger mes valises à la troisième étape du dernier voyage. Aux grands maux les grands remèdes : j’utilisai une main pour serrer la base de mon sexe et retenir ainsi la précieuse semence. Elle ralentit ses mouvements et je sortis doucement de cette gangue à plaisir. — Non, ne sors pas, reste ! C’est pas fini, je ne t’ai pas senti jouir.— Mais ce voyage n’est pas fini ! Elle avait compris ; elle se souvenait où mon doigt et ma langue avaient commencé leurs premiers voyages. Alors elle est descendue tout doucement, a décalotté mon gland tendu comme une baudruche pour le lâcher délicatement. Sa main est venue à la rescousse pour me masturber longuement. Son autre main a laissé un doigt visiter ma petite caverne et appuyer sur mon petit monticule de plaisir. La suite ne s’est pas fait attendre longtemps : je me suis vidé par secousses successives, criant mon plaisir ; elle releva légèrement sa bouche pour en accueillir le plus possible. Mes spasmes achevés, gardant sa bouche fermée, elle ...