1. Flash-back balnéaire (4)


    Datte: 26/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... retire et plonge son visage entre mes jambes. Aucun doute, il est l’homme le plus habile avec sa langue que j’ai connu. C’est fou. Il m’emmène à l’orgasme progressivement, mais très rapidement. Je jouis deux, trois, quatre fois ! Il relève mes jambes et lèche… ma rondelle ! Oh mon Dieu ! Sa langue glisse dans mon anus et je crois devenir folle de plaisir. Je me laisse aller, j’abandonne toute résistance. Ses caresses m’hypnotisent, ses doigts sont les fils qui me mènent au plaisir, sa langue m’ensorcèle, sa bouche m’enflamme. Quand il m’attire au bord de la couche, je ne réponds plus de rien, sauf de mon désir d’être possédée par lui. Je relève les jambes et il lubrifie mon petit trou. Il pénètre lentement. Quinze ans après, un homme me sodomise… J’en ai tellement envie ! Je ne suis pas dans le mobile-home, je ne suis pas sur la Côte d’Azur, je n’ai pas 33 ans. C’est l’été, j’ai 18 ans et je me fais sodomiser par Eric, chez lui. C’est mirifique, prodigieux, sublime, divin. Je revis cette scène, physiquement et intellectuellement. J’ai un orgasme extraordinaire ! La première fois que je jouis en anal ! J’ouvre les yeux, il est devant moi, souriant et beau. Je l’invite à revenir sur la couche. Il s’allonge derrière moi et revient dans mon cul en cuillère. — Tu ressembles à un de mes ex. La passion de ma vie. Un été au paradis. Il m’avait rendue folle d’amour. Nous avions fait des folies. Des excès. Beaucoup. Tu as tout rallumé. — Dis-m’en plus… — Il s’appelait Eric, nous ...
    ... avions 18 ans. L’été le plus fou. Nous baisions partout, tout le temps, sans nous préoccuper des "qu’en dira-t-on". Tout mon être en avait été chamboulé. — Comment ? — Comme aujourd’hui. Le désir permanent, le côté totalement désinhibé et inconscient, les tenues sexy et sans dessous, les fellations avalées, la sodomie… — Tu veux dire que… ? — Prends-moi ! Encore ! Encore ! Viens plus loin ! L’homme vient sur mon dos, je me cambre puis…Oh oui ! Il me ramène à quatre pattes, la bite toujours plantée dans mon cul. Mmmh… Oui ! Il me prend tellement bien, c’est bon, bon, tellement bon… Encore ! Oh oui, oui, comme ça, plus vite ! Oh yes ! Encore ! Oh mon Dieu ! Ça brûle, ça fait mal ! Mais prends-moi plus fort ! C’est ça, comme ça ! Défonce mon cul, mon beau, défonce-le ! Il t’excite tellement ! Explose dedans, honore-le ! Je le sens se raidir soudain. Quelques secondes plus tard, je m’effondre sur le lit. Ooooh, quel plaisir, quel pied ! Je suis sonnée, abasourdie, presque étourdie par l’intensité de notre rapport. Depuis combien d’années n’avais-je pas ressenti tant de plaisir à faire l’amour ? Après avoir repris notre souffle, pour la première fois, je raconte mon histoire. J’aimerais prendre du temps mais je sens que l’homme - qui dit s’appeler Florent - comprend que je ne suis absolument pas comme ça avec Thierry. Il est sidéré d’apprendre que je ne sors jamais sans dessous, que je n’ai avalé qu’Eric et que je n’avais pratiqué la sodomie qu’avec lui. Je ressens une sensation très ...