1. L'enfilée du défilé du 14 juillet


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, hbi, couleurs, inconnu, uniforme, bizarre, vacances, jardin, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral préservati, pénétratio, hsodo, init,

    ... plaquant ses deux mains sur les fesses nerveuses et blanches. Jambes largement écartées, nous laissant à la vue le spectacle de son intimité rouge, luisante et ouverte de plaisir, elle le suce avec avidité et rapidité. Le spectacle m’émoustille et je sens mon entrejambe se raidir. Ma main, sur la hanche de Maria-Carmen se déplace vers ses fesses. Avec circonspection, ma main lui palpe la fesse. Elle est ronde, musclée, nerveuse et en même temps, douce et souple. Je remonte la grande jupe de soie et suis en contact avec la chair chaude. Mes doigts furètent. Explorent. Cherchent. Tâtent. Touchent. S’insinuent. Je suis dans la raie des fesses qui s’ouvrent à moi. Du bout des doigts, j’écarte la ficelle d’un string et, sous ma pression légère, les fesses me laissent entrer. Je perçois sous mes ongles un petit trou, plissé, ouvert, accueillant. Je m’y insinue et fouraille à l’entrée. Entame un léger va-et-vient qui me met le ventre en feu et force ma respiration vers un rythme saccadé. Maria-Carmen a la respiration haletante et sa main s’active aussi sur mes fesses et s’insinue partout. Une main ferme, curieuse, excitante en diable. Avec dextérité, elle passe la barrière de mon pantalon et, comme par enchantement, trouve le chemin de mon sexe, raidi par le contact chaud des doigts, le spectacle que nous ne cessons de contempler, sans compter toutes mes frustrations antérieures. Et tandis que nos yeux restent rivés sur le couple de militaires, lui en train de jouir dans le fond de ...
    ... la bouche d’elle qui, toujours accroupie, jambes, fesses et sexe écartés, avale consciencieusement son amant. Maria-Carmen me caresse la hampe de plus en plus raide. Puis, m’échappe des mains alors que mon doigt continue à lutiner sa rosette qui déjà se contracte en spasmes rapides. Dans un geste gracieux, elle s’agenouille devant mon entrejambe, défait mon pantalon et dans une aspiration gloutonne, m’avale. Sous l’aspiration de la bouche de la jeune Brésilienne, je n’ai que le temps de me cramponner à un montant de rétroviseur qui, par chance, se trouve sous ma main et m’évite de m’effondrer et basculer. Le fourreau chaud de la bouche excite tout mon sexe. Du bout au bord de ma toison pubienne, les lèvres forment un anneau ajusté et souple qui coulisse lentement et, après m’avoir mordillé et titillé, accélèrent le rythme et me mettent le cœur en chamade, transforment mes jambes en guimauve… Alors que je suis au bord de l’explosion, j’entraperçois les jeunes militaires, qui ont terminé leurs galipettes, passer à quelques pas de nous et nous faire un petit clin d’œil. Mais je n’ai pas la force de leur répondre. Seul un mince sourire vient barrer mon visage, concentré sur le plaisir qui monte à grand galop, forcé de contrôler ma respiration pour ne pas exploser moi aussi dans la bouche de ma divine suceuse. Avec précaution, je me retire d’elle et l’incite à remonter. Avant de remonter, Maria-Carmen tire de son réticule une protection dont elle déchire l’emballage avec les dents ...
«1234...»