1. Calligraphie


    Datte: 26/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, inconnu, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, préservati, jeu, conte, humour,

    ... m’aide à m’allonger à même le sol. La fraîcheur du plancher contre mon dos me fait du bien. Il se dénude à son tour et va chercher un de mes pinceaux pointus et dur, qu’il plonge dans l’encre de Chine. Après une brève réflexion, il l’approche de ma peau et dessine un premier petit trait barrant mon mamelon droit, puis une sorte de circonflexe de la pointe du téton jusqu’au pli du sein. La caresse de la brosse me fait immédiatement grimper au plafond. Tout ce qui peut se tendre en moi se met à bander, je hérissonne des tétons, du clitoris, et de plein d’endroits que je n’imaginais même pas exister dans mon corps avant cet instant. Il attend que je m’apaise un peu, puis continue sa calligraphie par deux carrés placés juste sous mon sein droit, prolongés par une longue queue arrondie, du flanc droit jusqu’au milieu du ventre, à peine au-dessus de mon nombril. Il procède avec une insupportable lenteur, laissant couler quelques gouttes d’encre le long de mes courbes, et attendant qu’elle m’aient suffisamment excitées avant de les essuyer. Ses effleurements sont divins, ses attouchements me paralysent de plaisir. Avant la fin du premier idéogramme, je sens déjà ma liqueur couler entre mes pétales gonflées d’envie. Pourtant, tout mon être est détendu, j’ai perdu toute force d’agir ou même de vouloir quoi que ce soit. J’écarte légèrement les cuisses pour mieux m’offrir, avec le secret espoir qu’il reprenne au plus vite son œuvre éphémère. C’est mal le connaître. Il commence d’abord ...
    ... par souffler délicatement sur le premier dessin. La sensation de froid et de chaud sur ma peau décuple immédiatement mon désir de lui. Quand il me sent frémissante à souhait, il daigne enfin poursuivre. D’abord d’un petit trait vertical depuis mon nombril vers le bas, suivi d’un autre en parallèle un peu plus à gauche, relié au premier par une épaisse barre qui traverse mon bas ventre jusqu’à la pointe de la hanche gauche. Il a appuyé son premier trait juste assez pour former un petit lac dans le creux de mon nombril. C’est particulièrement cruel, car je suis maintenant obligée de retenir les élans de mes hanches, si je veux éviter de faire déborder l’encre. La petite brosse qu’il plonge ensuite dans mon encrier ombilical m’électrise délicieusement, et provoque des spasmes de plus en plus forts au fond de ma chatte. Je ne peux m’empêcher de gémir à chaque fois qu’il me touche. Pourtant je sens déjà que ces caresses ne suffiront pas à me faire jouir. Chaque coup de pinceau m’excite en surface, mais me fait ressentir encore plus violemment le manque de sa virilité entre mes cuisses. Il est en train de me rendre folle de désir en irritant ma peau à l’extrême, tout en se gardant bien d’approcher son corps trop près de mon intimité. Je commence à délirer en m’imaginant qu’il va tremper sa pine dans l’encre et m’offrir enfin une apothéose calligraphique dans l’explosion de son volumineux pinceau de chair. Mon ventre se tend vers lui. Je sais qu’il me regarde, qu’il voit ma béance, ...
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