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Photographe
Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, profélève, photofilm, pénétratio, fdanus, fsodo, amourcach, h+prof,
... grands sabots et j’ai empêché ma sœur de poursuivre cette idylle, je voulais qu’elle travaille. Elle a fait le sacrifice. Mais j’ai vu aussi que tu me regardais beaucoup. Alors je t’ai piégé, t’ai fait prendre les photos de la fête du club. J’ai vu que ta réputation de photographe n’était pas usurpée, mais j’ai eu aussi confirmation que tu avais envie de moi. Puis il y a eu la boum du bac. Après les vacances, je ne t’ai pas appelé pour voir tes clichés, je voulais qu’Audrey termine ses études. Quand tu es revenu, j’ai décidé de te tester, surtout tes sentiments. J’ai vu que tu t’étais encore amélioré dans ton art, que tu étais compétent en amour, mais surtout que tu pensais encore à ma sœur. Voilà pour quelle raison je l’ai amenée aujourd’hui. Mais, te plaît-elle toujours autant ?— Je suis fou d’elle.— On ne l’aurait pas cru ces derniers jours. Mais il faut savoir si elle aussi est d’accord.— Oh oui, mille fois, s’écrie l’intéressé, regrettant soudain sa spontanéité.— Eh bien, c’est parfait les amoureux. Maintenant, il faut rentrer sœurette.— Oh non, je reste avec Guillaume, pars si tu veux.— Ah bon ! Alors je viens te chercher demain matin à neuf heures, avec les croissants. Elle est partie. Tous deux se sont regardés, ils avaient proclamé leurs sentiments, devant témoin. Elle est restée afin qu’il lui fasse l’amour. Il va lui donner satisfaction. Il l’a remet en tenue d’Ève. Elle lui apparaît magnifique, encore plus belle que pendant la séance photo. Il lui prend ...
... d’abord sa bouche. Un baiser meilleur que ceux échangés au lycée. Puis, comme pour sa sœur, il descend aux seins, un peu plus volumineux mais très fermes. C’est elle qui le guide, le promenant de l’un à l’autre. Abandonnant sa proie, il se redresse et rapidement se met nu. Sa tête s’approche du léger gazon brun, l’admirant d’abord puis le butinant dans son ensemble. Insatisfaite, elle le guide vers le point sensible. Et bientôt il sent perler une humidité odorante. Elle se redresse, le prenant pour l’amener contre elle. Il hésite, peut-être m’a-t-elle attendu, je ne veux pas la blesser. Mais c’est elle qui prend le poinçon et le met en place. Lentement, il se laisse glisser à l’intérieur de ce fourreau encore étroit. Il n’est pas le premier, mais peu lui importe, au contraire, il va exprimer tout son désir et surtout le lui faire partager. Excité au maximum, il bouge lentement, craignant de se répandre trop tôt. Mais après quelques minutes elle exige qu’il la transperce violemment. Il obéit, essayant de se retenir. Mais des jambes nouées sur ses reins l’immobilisent et il éclate de bonheur. — Jamais je n’avais connu un tel plaisir, lui dit-elle. Pourtant, j’ai eu de la chance, ma première fois a été merveilleuse. Je voulais me débarrasser de mon pucelage. Un copain de fac, très beau, très gentil était la coqueluche de toutes les femelles. Il séduisait, mais le seul ennui, c’est qu’il abandonnait dès qu’il avait obtenu satisfaction. Pour moi qui ne voulais pas d’attache, c’était ...