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Photographe
Datte: 26/08/2017, Catégories: fh, profélève, photofilm, pénétratio, fdanus, fsodo, amourcach, h+prof,
... moi. Comment je me place ? Il lui laisse d’abord le champ libre. Puis il lui indique les poses les plus fréquentes dans les tabloïds. Une demi-heure plus tard, elle l’arrête, un peu de repos. Ils visionnent leur dernier travail. La plupart sont parfaites tant sur le plan technique qu’artistique. À un moment il n’a saisi que les seins, puis le buste et le bassin, sans que le visage apparaisse. Elle reconnaît qu’elles sont parmi les plus belles. Elle est assise devant l’ordinateur. Pendant qu’il lui montre son travail, son bras a entouré les épaules pendant que l’autre main indique les défauts. La main glisse de l’épaule jusqu’à un sein, le frôle puis carrément le saisit. Elle tourne la tête vers lui, c’est pour rencontrer ses lèvres. À cet instant, oubliés les clichés, c’est un baiser torride. Il la guide, elle s’étend sur la couche, et le regarde en souriant. Il comprend qu’elle était venue pour ça, qu’elle n’attendait que cela. Il se met rapidement nu, s’allonge à côté d’elle. Ils reprennent le baiser. C’est elle qui pénètre la bouche du garçon. Sa langue pointue va la fouiller. Une lutte amoureuse s’engage, chacun voulant dominer l’autre. Guillaume laisse les lèvres, voulant connaître d’autres morceaux tendres de sa maîtresse. Les petits seins sont des coupoles fermes, le bouton semble mis là pour les soulever. Avec les lèvres, avec les dents, il triture, agace, tire dessus. Ses mains parviennent juste à l’englober, tentant de le détacher du torse sans y parvenir. Elle ...
... guide la tête, appuyant, secouant, puis la déplaçant sur l’autre. Comme un chat satisfait, elle ronronne son plaisir. Mais elle veut plus. Elle repousse l’agresseur vers un joli gazon taillé en ticket de métro, sur lequel, comme sur un terrain de golf elle promène la balle constituée par la tête de son partenaire. Lui hume le parfum épicé qui se dégage de ce terrain humide. Deux de ses doigts viennent se graisser dans le puits. En un mouvement alternatif ils font monter la pression pour déclencher le débordement. Sortant ses doigts gluants, il frictionne le périnée puis en glisse un vers l’arrière, pénétrant doucement dans le conduit resserré. C’en est trop pour elle. Saisissant son assaillant, elle le ramène contre elle, prend en main le sexe, le place, puis appuie sur les fesses pour indiquer le départ de la cavalcade. L’amant est obligé de démarrer lentement, son plaisir est trop proche. Le ventre féminin remonte, vient à la rencontre du poinçon qui le perce, les muscles vaginaux se contractent. Pour lui, c’est le bonheur parfait. Il se déchaîne alors, la perforant à grands coups. Elle crie son bonheur, mais lui continue, voulant partager cette extase. Et quelques instants plus tard il s’immobilise, enfoncé au maximum et se vide de toute sa semence. Il est retombé sur le côté. Elle l’enlace, comme pour le protéger, ainsi qu’une mère serrant son enfant. Il est bien contre cette chair à la fois tiède et ferme. C’est un long moment de bien-être, différent, peut-être même meilleur ...