Marie Christine, génèse d'une soumise (3)
Datte: 05/06/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Ce soir là, j’observai Bob du coin de l’œil tout en lisant un bouquin, il avait l’air de s’ennuyer devant son match de foot. Il sortit soudain de sa torpeur et me déclara: — Marie Christine, va t’habiller. Prends ce que tu veux dans le placard. Je me levais et choisis une tenue. Je pris une mini-jupe noire à boutons qui pouvait s’ouvrir complétement et un petit gilet chinois, très serré. Il me remontait les seins et me donnait un décolleté plus généreux. J’enfilai des chaussures à talons hauts, avec une large lanière sur la cheville. - Tu sais, j’aime bien te laisser choisir ta propre tenue. C’est comme si tu te punissais toi-même. J’ai une idée amusante pour ce soir. Près de la porte, tu vas trouver un sac à dos. Prends-le, sors et va dans la cabine téléphonique, sur le trottoir d’en face. Une fois là, entre et appelle-moi. C’était le temps béni où les cabines fleurissaient à tous les coins de rue, avant que les portables ne les envoient à la casse! Je savais qu’on voyait la cabine téléphonique depuis notre salon, donc… Je me levai et obéis. Il faisait bon dehors. Il était à peine minuit, et je croisai quelques personnes. Le premier homme ne réagit pas, mais le deuxième sourit et me regarda sans aucune gêne, des pieds à la tête: — Au moins vous assumez! Une fois dans la cabine téléphonique, je posai le sac sur la petite tablette, et fermai la porte. Après la rue peu éclairée, la lumière de la cabine me paraissait très forte. Je fermai la porte et appelai Bob qui répondit ...
... rapidement. — Ce soir, tu vas te donner en spectacle, je serai invisible. Déboutonne la moitié de ta jupe, à partir du bas. J’obéis. — Tourne-toi vers moi! Je me mis face à la fenêtre de notre salon, sans pour autant voir Bob qui avait éteint la lumière. Dans ma petite cabine de verre au milieu de la rue noire, j’étais visible pour n’importe qui aux alentours. — Très bien. Maintenant, enfonce un doigt dans ta chatte. J’obéis. — Un autre. Encore un. Je me penchai un peu en avant pour glisser un troisième doigt dans mon sexe. — Masturbe-toi comme ça un moment. J’avais le souffle court quand Bob m’ordonna de m’arrêter. Avec un gémissement bas, je retirai mes doigts et attendis. — Ouvre ton gilet et essuie tes doigts sur tes seins. J’obtempérai sans lâcher le combiné. Je sentis mon humidité contre mes seins, qui durcirent. — Bien. Maintenant, retire le gilet. Je le fis glisser de mes épaules, puis passai le téléphone d’une main à l’autre pour le laisser tomber par terre. — Pince-toi les tétons. L’un après l’autre. Ils étaient déjà durs, faciles à saisir. Je pinçai et tirai celui de droite, puis de gauche. — Recommence. Plus fort. Je poussai un grognement de douleur excitée, mais ne faiblis pas pour autant. — Très bien. Maintenant, regarde dans le sac. J’y trouvai un gode, assez gros, avec une ventouse à la base. Il devait bien faire 25 cm de long et comportait même des testicules. Je compris tout de suite ce que Bob allait me demander. — Colle la ventouse contre une des vitres! Je ...