1. Terreur à Ténérife Ch. 05


    Datte: 06/06/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... il la poussa à s'agenouiller et elle entreprit de lui tailler une pipe sans même qu'il le lui ordonne. Bien sur, je les filmais en pleine action, ils la baisèrent pendant plusieurs heures dans toute la maison. Ils ne la laissèrent tranquilles qu'une fois qu'elle les eut tous sucés et qu'ils l'eurent tous baisés. Elle était percluse de douleurs suite à la nuit précédente et on peut dire qu'ils utilisèrent vraiment les restes, mais comme ils s'en foutaient tota-lement! Dès qu'ils furent partis, j'aidais Jenny à gagner la salle de bain et je lui fis prendre une douche brûlante. Puis je la séchais avec soin et l'assis à table alors que je préparais notre repas de midi. Je pensais parfois que nous ferions mieux de nous enfuir, mais je pensais immédiatement aux conséquences qui en découleraient pour mes sœurs et les autres femmes de la famille, de toute manière pour nous ne pouvions partir faute d'argent pour assurer la pitance et le coucher! Mais surtout, nous étions paniqués à l'idée de ce qui arriverait aux gens que nous aimions si nous nous dérobions! Nous ne voulions ni l'un ni l'autre alerter les services de police alors qu'ils disposaient de films semblant démontrer que nous avuions utilisé les services de jeunes mineurs, c'était faux, mais comment le démontrer à la vue de leurs visages juvéniles! Aussi insupportable que cela nous paraisse nous étions contraints d'obéir docilement. De toute manière nous n'étions pas assez déterminés pour lutter contre des maîtres-chanteurs ...
    ... aussi bien organisés. Conformément à notre planning nous pouvions aller faire des courses à l'épicerie cet après-midi, nous y avons consacré une bonne paire d'heure, nous aurions aimé y rester plus longtemps mais c'était le temps qui nous était imparti. Nous sommes rentrés à la maison, nous nous sommes assis et avons siroté un verre d'un puissant alcool pour dans l'espoir que celà nous re-laxe. Je remarquais que nous n'avions pas beaucoup discuté entre nous de-puis la veille, nous ne voulions ni l'un ni l'autre évoquer ces profonds changements qui bouleversaient notre vie! Nous ne nous sentions jamais tout à fait en sécurité. Chaque fois que nous entendions un bruit à l'extérieur, on avait peur que ce soit quelqu'un qui débarque pour baiser Jenny. Mais personne ne vint et, après un souper léger on regarda un peu la télé puis nous nous sommes couchés. Nous étions tous deux très fatigués après la dernière nuit. Nous nous sommes réveillés assez tôt ce dimanche matin, le fait d'être prisonnier dans notre propre maison était affolant. Nous ne pouvions pas sortir, en dehors des plages programmées. Nous ne disposions que de deux soirées de libre chaque semaine, le mercredi et le dimanche, nous sortions rarement le dimanche, c'était de-puis longtemps notre jour de repos. De toute manière nous n'avions pas envie de sortir maintenant que, la plupart du temps, on devait rester seul chez nous. Nous aurions voulu que cesse ce défilé d'hommes qui venaient satisfaire leurs appétits de luxure ...
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