1. Sévices militaires 02


    Datte: 07/06/2019, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... chercher tes enfants ?- Ou...Oui, bafouillé je en fermant les yeux.David me malaxe le sein. Il soulève mon pull découvrant mon soutien-gorge dont il baisse les balconnets. Il s'empare de mes deux seins et tort les pointes m'arrachant un gémissement de douleur.Pendant ce temps, Audrey a ordonné à Béatrice et Marie-Dominique de soulever leurs jupes. Elles sont toutes les deux culs nu dessous. Audrey oblige Marie-Dominique à s'accroupir et à sucer la chatte de Béatrice. Je rappelle que Béatrice a la cinquantaine et que Marie-Dominique vient d'avoir 41 ans. Quant à moi, j'ai 38 ans.- Tu as réussi ? me susurre David tout en continuant de me caresser les seins à travers mon pull. Tu viendras avec Elisabeth demain soir ?Je gémis malgré moi : Ce n'est pas possible. Pas demain soir, c'est trop tôt. Je le signale à David qui ne répond pas. Délaissant mes seins, il plonge deux doigts dans ma chatte après avoir relevé ma jupe. Je ne porte plus de pantalon, David me l'interdit. Ni de collant du reste sauf s’il me l'ordonne.Pareil pour mes compagnes d'infortune, nous devons être sexy et accessibles en n'importe quelles circonstances. Nos maris n'ont pas remarqué de changement dans la façon de nous habiller. Peut-être même apprécient ils ? Il enfonce son index dans ma chatte, me titillant le clitoris. Il s'amuse ensuite à caresser mes cuisses. Le nylon crisse sous ses doigts.J'entends une protestation étouffée et David se retourne. Marie-Dominique, à genoux sur la moquette, les cheveux ...
    ... tenus par Audrey est contrainte de pomper le clitoris de Béatrice qui donne de petits coups de rein en se mordant les lèvres pour ne pas hurler...de douleur ou de plaisir ? A voir son expression sur son visage, je penche pour le plaisir. Audrey a presque enfoncé sa main dans la chatte béante de Marie-Dominique et la branle sans ménagement arrachant des gémissements à l'épouse de l'adjudant-chef.David appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux :- Tu sais ce que tu dois faire. Me dit-il d'un ton autoritaire.Je m'empresse de lui sortir la bite de son treillis. Elle jaillit, tendue, raide, gonflée à bloc, le gland luisant. Il appuie un peu sur ma nuque et je me penche. Ma bouche emprisonne son sexe et je commence à le sucer avec écœurement mais aussi, je dois bien l'avouer, avec une espèce de plaisir sale, une trouble excitation. Ma langue s'enroule autour de son gland, je le pompe en faisant des bruits humides. On n’entend plus dans le salon que des petits cris, des gémissements, des plaintes étouffées. Sous ses directives, je dois le branler et lui lécher les couilles puis replonger sur sa queue.. Il agrippe ma tête et la tenant fermement donne de violents coups de rein me « baisant » par la bouche. Je manque d'étouffer et j'ai un haut-le-cœur.Audrey continue de branler Marie-Dominique qui n'en pouvant plus à arrêter de sucer Béatrice. Elle secoue la tête dans tous les sens suppliant Audrey d'arrêter. La jeune fille avec un rictus ignoble continue de plus belle, lui enfonçant ...