1. Broute broute car !!!


    Datte: 27/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Broute broute car Je me suis connecté au célèbre site de covoiturage. Lundi fin d’après rendez-vous sur un parking de grande surface. Une Captur arrive. Une femme assez stricte sort du véhicule. Tailleur noir, chemisier blanc foulard. Je lui donne entre 45-50 ans. Elle ouvre son coffre, remets du matériel et un petit sac de voyage en place. J’en profite pour mater ses fesses rebondies et ses hanches arrondies légèrement. Je pose mon sac après régler les détails sur les frais. Elle se prénomme Véronique. Nous prenons la route et nous échangeons quelques banalités. Elle est commerciale pour une PME et sillonne la France les semaines. Après un long blanc, elle défait son foulard et laisse apparaitre un décolleté plus que plongeant. Ses deux seins engoncés dans son chemisier et remontés par un soutien gorge adéquate ne me laissent pas indifférent. La conversation reprend mais j’ai un peu de mal à la regarder dans les yeux comme auparavant. Je dois me concentrer pour ne pas laisser une bosse apparaître. Notre discussion tourne autour de son métier. Elle m’explique que ces allers-retours lui pèsent parfois, surtout durant cette période de l’année ou les jours sont plus courts que les nuits. Je lui réponds que pour la vie de famille ça ne doit pas être évident. Avant de répondre elle me demande de l’aider à quitter sa veste. Je joins le geste à la parole et en profite pour regarder sa poitrine. Je suis face à un bon bonnet C ou D. Je croise le regard Véronique dans le rétro ...
    ... lorsque je mate « ses obus ». Je rougis légèrement et pose la veste derrière. Véronique part dans une longue tirade pour m’expliquer qu’avant les retours à la maison elle les attendait mais que maintenant elle préférait dormir une nuit de plus et rentrée tranquillement. Puis de but en blanc elle me pose deux questions : - Est-ce tu me trouves désirable ? - Est-ce que j’aime les préliminaires ? Dans un premier temps je reste sans voix puis je lui dis que de manière tout aussi cru que ça fait deux heures que je retiens de bander en matant sa poitrine et que j’adore les préliminaires. Véronique les larmes au bord des yeux se plaint que son mari ne la regarde plus et que les peu de fois où « il consomme » c’est je te monte dessus et pan pan et au lit. - « Je lui demande à chaque fois s’il veut me lécher mais il refuse à chaque fois » conclue-t-elle ? - Il a bien tord car une femme aussi bien faite c’est un crime de ne pas la ravir par tous les moyens. La conversation devient alors surréaliste… - Tu voudrais bien me brouter à la prochaine aire de repos tranquille ? - Ben heu !?! oui !!! Les kilomètres avant l’arrêt se font de manière silencieuse. Le geste ayant pris la place de la parole. Véronique me caressant le gland pendant que ma main lui titille les seins et l’entrée de son mont Venus. Sur le parking nous nous isolons de manière à ne pas se faire repérer. A la limite de l’hystérie Véronique relève sa jupe, quitte sa culotte devant les phares de sa voiture soulage une envie ...
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