1. Du gîte aux gorges profondes…


    Datte: 07/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    En vacances en gîte, belle bâtisse en pierre, j’étais installé au rez-de-chaussée dans un deux pièces. Une pièce principale, un couloir avec 2 portes à droite desservant la salle de bain et les toilettes, une porte en face de la pièce principale donnant sur la chambre. Cette dernière donnait sur la terrasse en L. Au dessus de moi s’était installé un couple proche de la cinquantaine. Un vieux bougon féru de pêche et une ménagère toute dévouée à son mari. Elle me saluait à chaque fois que nous nous croisions et je sentais son regard appuyé sur moi. Son mari la précédait toujours et il ne semblait nullement attentionné avec sa femme. C’est elle qui faisait les courses s’occupait du linge… Durant la première semaine, nos regards et les sourires échangés étaient de plus en plus longs. Nous échangions quelques mots sur la météo exceptionnelle et sur cette chaleur tout en ventant l’isolation de cette vieille demeure. Tout dérapa la deuxième semaine. Un matin, je sortais d’une douche fraîche après mon jogging. J’avais oublié de refermer la porte fenêtre. J’étais dans le plus simple appareil quand je sentis un regard sur moi. C’était la femme qui me matait. Elle rentrait de faire ses courses. Elle posa son sac et fit un signe comme quoi mon sexe était petit. Après une douche froide on n’est pas à son avantage. Je ne fus pas désarçonné plus que ça. Je la montrais du doigt, simulais un lever de haut de vêtement et lui indiquais que mon sexe se lèverait instantanément. Elle s’approcha ...
    ... un peu posa ses deux sacs regarda à droite et à gauche puis elle souleva son caraco en attrapant son soutien gorge au passage libérant ses deux seins lourds légèrement pendant avec de belles aréoles brunes. Mon sexe se raidit immédiatement. Elle mit son pousse en l’air. Je ne suis pas un monstre mais mon sexe est très raide et légèrement arqué vers le haut. Elle remit son haut prit ses courses et disparue. Le lendemain matin, mes volets étaient mi-clos laissant la place pour mon sexe de passer entre les deux battants. J’attendais le retour de madame. Lorsqu’elle arriva je sentis dans son regard un peu de déception quand elle vit les volets fermés. Quand elle fut proche de ma terrasse, je tapais avec mon doigt sur le volet et je fis apparaitre ma bite entre ces derniers. Elle marqua un temps d’arrêt puis elle vit mon sexe. Un léger rictus apparut sur son visage ; Elle s’approcha. Me branla légèrement, regarda aux alentours, s’accroupit et avala mon sexe dans un bruit de succion qui me sembla faire trembler les murs. Un vrai Dyson. Une experte de la fellation. Elle se releva après m’avoir embrassé le sexe et me dit à bientôt. Je restais stoïque derrière les volets. Il était 15 heures quand je vis passer le mari avec sa canne à pêche. A peine avait-il disparu du paysage qu’elle passa la porte fenêtre, posa son panier à linge ferma les volets et retira sa robe. Une fois de plus j’étais bluffé par son sans froid. Elle avait le teint hâlé. Elle avait dû avoir des seins magnifiques ...
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