1. Le baiser


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Anal Masturbation Mature,

    Il y a quelques années, ne sachant pas trop quoi faire de mon temps libre, je me suis inscrite à un cours de théâtre pour adultes sur Bordeaux.Les séances se déroulaient le jeudi soir chez le metteur en scène.J’étais surtout contente de sortir de la maison, la crise que nous traversions avec mon mari était sérieuse, le mot divorce commençait à faire son apparition dans nos prises de bec.Je pensais que le théâtre me ferait du bien, même si j’étais plutôt mauvaise actrice, ce qu’ont rapidement confirmé les premières répétitions...Néanmoins mon toupet et mon envie de bien faire plaisaient au groupe et surtout à Michel, le metteur en scène. J’apportais un peu de légèreté au petit collectif et comme la pièce était dramatique, ma présence néophyte semblait appréciée par tous.Surtout par Michel qui me lançait de jolis regards complices quand je jouais et ne me faisait jamais de reproches quand j’oubliais mon texte.C’était un homme étrange...la cinquantaine, ce qui me paraissait vieux à l’époque car j’en avait 34, svelte, élégant, au visage disgracieux mais l’ensemble était troublant, indéfinissable. Je sentis vite que sa « laideur » était compensée par ce qu’on appelle le charme. Celui d’un Gainsbourg ou d’un Denis Lavant.D’ailleurs les autres femmes du cours l’aimaient beaucoup et se disputaient même ses mots et ses attentions, de manière discrète mais cela ne pouvait pas échapper à ma sensibilité féminine.Et puis c’était le chef, celui qui nous dirigeait, que tout le monde ...
    ... écoutait.Il était marié avec une femme très belle, professeur de philo à la fac de Talence et maitre de conférences sur Paris. Leur couple était beau, ils semblaient très heureux ensemble et rayonnaient d’un amour simple et solide. Tout ce qui me manquait....Un soir de décembre, je suis arrivée à la répétition avec le moral dans les chaussettes, le visage marqué par une extrême fatigue corporelle et psychique... j’étais au plus mal, j’avais peur que mon couple explose avant Noël ce qui me rendait infiniment triste.Michel l’a remarqué de suite et s’est comporté en gentleman avec moi, rassurant, chaleureux. Son attitude m’a fait beaucoup de bien et j’ai senti le sang revenir à mon visage pendant que je déclamais mon texte.À la fin de la répétition j’avais très envie de rester papoter avec lui, avec lui seul, ce que je n’avais jamais oser penser faire mais je ne voulais pas le déranger et repris le chemin du parking dans la nuit glaciale.Après avoir pris le temps de dire au revoir aux autres acteurs, je me préparais à rentrer chez moi retrouver mes problèmes quand je me rendis compte que j’avais tout simplement oublié mon sac à la répétition.Je retournais donc chez le metteur en scène récupérer mes affaires.Je sonne. Au bout de quelques secondes où je congèle sur place il ouvre enfin.Je lui explique. Il me répond.« Entre, tu vas att****r froid »J’entre dans son bureau encore parfumé de la présence du groupe. J’adore cet endroit. C’est une grande pièce très accueillante aux murs jaune ...
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