1. Pornstars


    Datte: 08/06/2019, Catégories: ffh, grossexe, piscine, Transexuels facial, Oral double, humour,

    Résumé de l’épisode 1 : Un samedi soir, en boîte, une petite blonde magnifique et pulpeuse à souhait a mis le feu au dance floor, avant d’aller rouler des pelles à une jolie petite brune qui l’attendait sur le bord de la piste, dégoûtant tous les mecs qui essayaient de la séduire. J’ai quand même tenté ma chance et les ai toutes deux invitées à boire un verre. Et je n’ai pas été déçu : les filles ont souhaité finir la soirée avec moi dans l’immense suite qu’elles occupaient dans un hôtel grand luxe. Mais alors que nous étions en train de baiser tous les trois, j’ai découvert avec stupeur que Pauline, la brune, était hermaphrodite, dotée, en plus de son sexe féminin, d’un pénis plus que conséquent, dont elle se servait à merveille pour le plus grand bonheur de Laetitia, sa somptueuse compagne.Résumé de l’épisode 2 : Les filles ont souhaité que je passe la nuit et la journée du lendemain avec elles. Elles m’ont appris que des hommes et femmes fortunés étaient prêts à payer des sommes considérables pour coucher avec Pauline. Elles devaient justement retrouver le dimanche soir un couple de millionnaires chinois, Monsieur et Madame Li, qui au moment de partir, ont confié à Pauline avoir déjà rencontré, à Amsterdam dix ans plus tôt, une autre « futa », une femme comme elle dotée d’organes mâles. Pauline nous a convaincus, Laetitia et moi, de nous rendre à Amsterdam, où nous avons éclusé le Quartier Rouge jusqu’à retrouver Stella, la pute hermaphrodite, ou plutôt l’épave qu’elle ...
    ... était devenue. Celle-ci nous apprit l’existence probable d’une communauté de « futas » qui vivraient à New York. ***** Aéroport John Fitzgerald Kennedy, mercredi 11 h 15. Je profitai de l’attente des bagages et de la douane pour compléter un peu ma garde-robe ; si on devait rester plusieurs jours à New York, j’aurais de quoi tenir. Il allait aussi falloir qu’on se trouve un hôtel, et surtout qu’on décide par où commencer à chercher. Avec le peu de renseignements qu’on avait, c’était pas gagné : une communauté de « futas », à New York. Est-ce qu’on avait une tête qui revenait pas aux douaniers new-yorkais, ou bien juste pas de bol ? Toujours est-il qu’on fut sélectionnés pour être examinés de près, nos bagages explorés jusqu’à la racine, et nous-mêmes fouillés de fond en comble. Tout aurait pu bien se passer, mais la nana qui inspectait Pauline s’énerva soudain : elle avait trouvé quelque chose de dur en palpant son bas-ventre, et lui enjoignait déjà de la suivre pour une fouille plus approfondie. — Eh ben ! Elle va pas être déçue… rigolai-je.— Je suis désolée, bafouilla Pauline en rougissant et en haussant les épaules, les voyages en avion me filent toujours la gaule…— Ouais enfin t’aurais pu me le dire avant qu’on passe la douane, s’agaça Laetitia, on aurait pu s’arranger ! Pauline suivit la nana en direction d’un local marqué « security ». — Je me demande si elle fait pas exprès, quand même…— C’est vrai que la douanière est plutôt pas mal, concédai-je.— Ben du coup, proposa ...
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