LE MARIN. La parisienne en vacances. (7)
Datte: 27/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... pour faire venir la marchande de vêtements. • Attention Véronique la Parisienne repart mardi, tu as jusqu’à lundi soir pour réussir ton gage d’esclave. Son gage donné, nous rejoignons Véronique. Entrée dans la chambre, elle sent, notre présence ouvre un œil et voie Didier. Elle a un regard de tendresse envers le petit et lorsqu’il glisse sa main sous le drap, elle accepte qu’il la caresse me montrant qu’elle a bien récupéré. Je tiens à le garder en forme, car si tout va bien, nous risquons de passer une sacrée soirée au milieu de nos trois femmes du soir, me souvenant du rendez-vous avec la sœur et la cousine de Roger. • Debout, belle fainéante, si tu passes tes vacances au lit ton médecin, est capable de venir nous enguirlander pour guérison partielle. • Après la journée d’hier, je pense qu’il aura du mal à dire que j’ai refusé de suivre son traitement. Je vois que Didier a envie de dire quelque chose certainement sur ce que nous avons fait hier, mais sa retenue naturelle le fait taire. Il tire le drap découvrant l’intimité de la grande malade et la prenant par la main, il la conduit dans la salle de bain où méticuleusement il la lave, la rince et la sortant de l’eau encore dégoulinante, il l’essuie. Pendant ce temps, je lui prépare une tenue mi-pute mi-bourgeoise pour passer la journée. Alors que nous descendons au bar, pour Véronique, j’ai eu envie de lui faire prendre le petit déjeuner que mes copains m’ont infligé le lendemain de notre retour en France après nos six ...
... mois autour du monde. Ils sont venus me réveiller venant du port de pêche, sans qu’ils aient fermé l’œil de la nuit. Lorsque je suis arrivé, ils avaient payé chacun leur tournée, en guise de déjeuner, il y avait sur le bar 7 verres de muscadet avec en bout une petite assiette avec un croissant. J’ai demandé à Agnès où était mon bol de chocolat, elle m’a rétorqué qu’il semblerait que ces verres de muscadet et le croissant, je les eusse commandés avant de descendre. On est fier lorsque l’on est marin, j’ai tout bu remettant même ma tournée, mangé le croissant et retourné sur le bateau bourré plus mémorablement que les nombreuses fois ou j’ai passé des nuits blanches avec Roger et ses hommes au port de pêche. Je me suis souvenu de l’épisode des chaussures lavées à l’eau de mer après qu’elle est bue du chouchen aussi, elle a bien eu un croissant, mais avec un bon café. • Belle dame que voulez-vous visiter aujourd’hui ? • J’aimerais que l’on aille dans l’intérieur des terres. • Aucun problème, l’an passé mes parents sont venus et nous avons fait une balade que je vous propose de refaire, attention, nous avons rendez-vous avec Louise et Gaëlle à 21 heures, il faudra que nous soyons à l’heure. Pouvant conduire car son petit déjeuner a été soft, nous prenons la route vers Languidic. • Madame, arrêtez-vous s’il vous plaît face à l’église. Je suis incapable de vous dire le style de cette église, mais sur votre droite, vous voyez la salle des fêtes ou l’an passé, je suis venu avec mon ...