LA MANTE RELIGIEUSE. (7/14)
Datte: 09/06/2019,
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Dans la zone rouge,
... en manque d’amant. • Vous l’avez vu se goder. • Oui, assise sur la table de la cuisine, c’est notre premier souvenir lié au sexe, elle était devant notre père assis sur le plateau les jambes écartées et elle faisait aller un sexe long de 40 centimètres dans son vagin poilu. Lucien et moi nous étions sur le palier et elle lui parlait de choses qu’ils nous étaient impossibles de comprendre à cette époque. • Que disait-elle ? • Elle parlait de son beau-père qui l’avait baisée à son arrivée et que celui que nous croyons notre père serait privé jusqu’à la fin de ses jours de son abricot. C’est à ce moment que mon corps est parti en vrille soutenue par les deux queues qui ont envoyé leurs jets de foutre en moi m’apportant un orgasme bien différent de ceux qui sont ressentis par une seule queue du faîte que les deux côtés de mon corps éclatent ensemble. • Tu es une gentille femelle, je crois que nous nous entendrons bien ensemble dans cette maison, tu voudras toujours de ton mari quand il reviendra ? • Certainement pas, une lopette comme lui, je vous le laisse, je sais pourquoi vous le rejetez car il est issu d’étranger car votre mère est une pute. • Tu as raison, c’est une pute mais c’est notre mère comme l’homme qui vient de mourir d’une overdose de vin bien que nous sachions qu’il était un étranger à notre naissance et le restant jusqu’à la fin de notre vie. • Mon frère à raison mais nous avons cherché avec qui elle avait forniqué avant de nous mettre au monde mais à ce jour ...
... nous cherchons encore. Ma belle-mère m’est de plus en plus sympathique, j’ai choisi une voie pour contrer le droit de cuisage de la famille, elle a choisi de tromper avec tous ce qui passait à sa portée celui qui était devenu un alcoolique qui a fini par l’emporter. C’est comme cela que se passe ma première nuit avec mes jumeaux et depuis la fenêtre de la chambre de mes beaux-parents je vois les lumières des machines qui serpentent dans les virages dont celui ou j’ai jeté une rose. L’armoire, j’attaque sans perdre de temps à la vider pour chercher ou l’argent peut-être caché. Je tape sur les parois, du côté des affaires de mon beau-père le son est sourd. De l’autre côté cela sonne creux. Je suis sûr que je touche le nœud du problème. Avec mes petits bras non musclés j’essaye de tirer l’armoire à moi, c’est perdu d’avance, cette pièce de musée du XIXe siècle est massive et comme Camille a la même morphologie que moi la solution est ailleurs. Le panneau arrière, c’est là que je dois orienter mes recherches, un panneau peut glisser, s’ouvrir de droit à gauche ou l’inverse. Je vois mal ma belle-mère sortir tout ce qui est devant moi pour aller dans sa réserve à fric. Reste le panneau qui glisse. J’essaye à gauche, chou blanc, à droite idem, j’aurais dû y penser car à ce moment là il sortirait de l’armoire. Reste le bas et le haut. Le bas même problème qu’à droite, reste la seule solution, le lever. L’ébéniste qui a conçu le système avait de l’imagination car les panneaux qui ...