1. Gène du vice ? (4)


    Datte: 09/06/2019, Catégories: Trash,

    ... entrejambes qui devenait poisseux. A peine couchée, je la retirai et portai ce morceau de tissu imprégné à mon nez. Je respirai de toutes mes forces mes odeurs intimes démultipliées par la très longue durée pendant laquelle j’avais porté mon sous-vêtement sans en changer. L’odeur bien particulière, musquée et entêtante, m’excita et je dus me branler sauvagement pour me calmer. Je renfilai ma culotte sale le lendemain. J’étais très impatiente de retrouver Adrien, j’avais un peu peur de sa réaction lorsqu’il s’apercevrait que je portais une culotte sale, mais je ne pouvais pas me résoudre à la changer, son odeur était trop excitante. Je me rendis, comme souvent, en début d’après-midi dans la maison de ses parents et le trouvai dans sa chambre, apparemment heureux de me voir. Nous nous embrassâmes vivement, il posa ses mains sur mes fesses, puis en fit glisser une sur ma poitrine et l’autre sous ma jupe. J’étais inquiète, mais très excitée à l’idée qu’il découvre ma culotte et ma chatte sales. Je voulais qu’il lape mes jus poisseux. Je m’allongeai sur son lit en quittant ma jupe et mon chemisier et l’invitai à enlever ma culotte pour me faire du bien avec sa langue. Il ne se fit pas prier. Il ne dit rien en retirant la culotte, mais lorsqu’il posa la bouche sur ma chatte : — "Putain, tu sens vraiment la femelle en chaleur! Ta chatte est super bonne!" Il replongea dans ma fente moite pour m’offrir un cunnilingus mémorable. Que c’était bon de sentir la langue de mon amoureux ...
    ... fourrager ma chatte trempée et sale. Les sensations de plaisir physique s’alliaient avec le plaisir cérébral de commettre un acte immoral et dégradant pour mon amant ! La langue d’Adrien me fit jouir rapidement. Je remplis sa bouche d’abondantes sécrétions intimes, qu’il avala sans rechigner. Nous nous embrassâmes ensuite langoureusement, je goûtai ainsi à mes jus intimes et m’en délectai. C’était un peu salé, musqué, entêtant. Après ces préliminaires brûlants, je pris en bouche la queue raide d’Adrien. Je l’enfonçai immédiatement au fond de ma gorge en la prenant entièrement, comme sa mère me l’avait enseigné. Je remarquai vite son goût particulièrement corsé, presque poivré. Tout comme moi Adrien avait dû rester sale en mon absence ! Même si la force du goût me surpris durant un instant, je m’y habituai rapidement et le plaisir de transgresser les règles élémentaires de l’hygiène m’excitait follement. Je suçai avec passion ce membre chéri, souillé de plusieurs jours sans gant de toilette ! -« Hum, elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! », déclarai-je en regardant mon amoureux dans les yeux et avec un grand sourire. Après cette bonne pipe, Adrien pénétra ma chatte trempée. Depuis trois jours j’attendais impatiente ce moment incomparable : sentir un dard tendu et veiné s’enfoncer dans mon sexe gourmand et le pilonner pour me donner du plaisir ! Je prenais vraiment mon pied, mais je faisais également attention à ce qu’Adrien ne jouisse pas trop vite. Je voulais qu’il ait ...