1. Une expérience unique


    Datte: 10/06/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, couple, cocus, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, init, conte,

    ... serrant ma main de la sienne, se leva et se dirigea vers la douche, avec ma main en otage. Elle relâcha prise, ajusta la température de l’eau et, pendant que le jet nous aspergeait, elle se colla très fort contre moi, m’étreignant dans ses bras. Elle me donna le savon et la houppette, et reculant du jet d’eau, je la savonnai doucement, appréciant chaque courbe, chaque vallée, chacun des endroits intimes de sa personne. Avant de se rincer, elle fit de même pour moi, avec une grande tendresse. Nous nous sommes collés l’un contre l’autre, nos mains glissant sur nos corps gluants de savon. Un bon rinçage, puis nous avons fini notre douche à l’eau très froide. J’essuyai Linda avec une serviette très douce et duveteuse et ce fut mon tour. Linda m’embrassa bien tendrement. Elle était vraiment amoureuse ce matin-là, ma Linda. Nous sommes retournés à la chambre. Il était 9.45 heures. C’était la première fois que je regardais l’heure depuis notre départ de chez Paul. Linda défit le lit pendant que je fermais tous les rideaux, décrochais le téléphone, et dans le noir nous nous sommes couchés, Linda la tête au creux de mon épaule et mon bras autour de ses épaules. En un rien de temps nous étions tombés dans les bras de Morphée. Bien des heures plus tard, alors que je faisais un rêve fantastique, je me réveillai pour réaliser que mon rêve se réalisait. Linda, la belle Walkyrie, me chevauchait, à genoux, avec ma pine bien enfoncée dans son canal et elle montait et descendait lentement le ...
    ... long de ma verge bien bandée. J’ouvris les yeux, les siens étaient fermés, elle était en extase, elle se massait les seins et le ventre, allant jusqu’à sa toison pubienne, avec douceur et tendresse. Elle était seule, elle faisait le voyage en solitaire, elle était dans son monde à elle. Je n’osais pas la déranger ; je ne bougeais pas, je la regardais, elle était tellement belle, j’admirais son corps et le savourais, comme je savourais le plaisir qu’elle me procurait sans s’en rendre compte. J’étais bien reposé, j’avais de la patience et de la retenue ; je la laissai donc agir comme bon lui semblait. Linda poursuivit sa route, son itinéraire bien tracé, rien ne la ferait changer de cap. Elle seule était maître à bord de son vaisseau. J’étais presque certain qu’elle revivait les dernières 24 heures. Je n’y voyais aucun désagrément, bien au contraire. Elle accéléra son rythme petit à petit, son souffle devint court, elle se cambra, s’arrêta au haut de sa course, redescendit doucement, précipita ses mouvements, ses mains étaient partout sur son corps, c’était la frénésie, elle arrivait au port, et elle s’apprêtait à accoster. Je ne bougeais pas encore mais je sentais que je serais moi aussi au rendez-vous ; je l’attendais, ma belle Amazone. Soubresaut après soubresaut, elle s’agita, et avec de grands soupirs et des gémissements, elle s’abandonna et les orgasmes se suivirent à répétition ; je croyais qu’elle allait s’évanouir tellement ses sensations semblaient fortes et intenses. ...
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