Une expérience unique
Datte: 10/06/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
couple,
cocus,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
pénétratio,
init,
conte,
... sortie. Je les suivis. Ils semblaient très bien se plaire, ces deux-là. Une fois à l’extérieur, nous nous sommes enlacés et embrassés comme des vieux amis. Puis encore une autre embrassade, peut-être un peu plus intime ; Paul a même caressé le dos de Linda en descendant ses mains sur ses jolies fesses et c’est à ce moment que je me suis aperçu qu’elle ne portait aucun sous-vêtement, ni soutien-gorge, ni petite culotte… la petite cochonne. Elle devait être très mouillée… J’avais bien hâte de me retrouver seul avec elle et, en même temps, je voulais encore un peu de temps avec Paul. Oui, je le trouvais très sympathique et vraiment gentil. J’ai beaucoup aimé me serrer contre lui. J’hésitai un peu puis, je l’enlaçai ; il me le rendit bien en se collant tout contre moi. Je sentis un corps ferme et en bonne condition physique, sans être trop musclé. Il était sans prétention. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et nos adresses. Paul nous donna les directions pour se rendre chez lui ; un dernier au revoir, un autre échange de baisers et nous partîmes chacun de notre côté. Une fois dans la voiture, Linda mit sa main sur mon membre en érection partielle, et elle le serra bien fort. J’ai aussitôt glissé ma main entre ses belles cuisses qui étaient déjà écartées, sa cyprine avait coulé hors de son vagin. Ma main monta un peu plus haut pour découvrir un puits qui débordait d’un nectar d’un arôme enivrant. Linda me pria de rentrer à la maison le plus tôt possible. Retirant ma ...
... main avec un peu de réticence, je me léchai les doigts ; l’arôme et le goût me grisaient. Je mis la voiture en marche et nous avons filé sans plus tarder vers notre nid d’amour. Durant le trajet, Linda était appuyée contre la portière avec une jambe sur la banquette et l’autre par terre, sa jupe remontée. Je pouvais voir son ouverture velue et attirante. Linda avait les yeux fixés quelque part ; elle était comme transfigurée, perdue dans ses pensées, comme elle seule pouvait le faire. Elle avait un sourire de bien-être, de quiétude, d’euphorie. Il a fallu beaucoup de concentration pour parcourir ces quelques interminables kilomètres. Rendue à la maison, Linda se hâta d’entrer et courut vers la chambre tout en enlevant sa blouse et laissant tomber sa jupe. Elle y arriva nue et belle comme jamais. Elle se laissa aller sur le lit, entrouvrit ses belles grandes jambes, pour me montrer un vagin géant, rempli de jus sublime ; et d’une voix rauque, pleine de désir, elle me supplia de venir la dévorer ; l’urgence de la demande m’empêcha de me dévêtir. Je plongeai ma face dans le gouffre de ses cuisses et ma langue savait exactement ce qu’elle devait faire, sans se faire prier davantage. Plus ma langue s’affairait pour cueillir cette boisson divine, plus la production s’amplifiait, au point que je ne pouvais pas tout recueillir ; ce nectar dégoulinait le long de ses cuisses, et cela me peinait grandement de le perdre. La source semblait intarissable. Et moi qui en raffole ; j’étais au ...