1. Kristine 9 Kristine ou Sophie ?


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... les raies de lumière de la fin de journée à travers les volets. Je faisais défiler les images vues dans ma tête. Je m’imaginais à la place de ma fille. Je m’imaginais donner à Damien ce qu’elle, avec son orgueil déplacé de jeune pimbêche, n’avait pas pu lui donner. Un SMS. Damien rentrerait plus tard que prévu. Il m’embrassait tendrement en attendant mieux. J’étais rassurée et folle de joie. Je me suis faite belle pour l’attendre. J’ai insisté sur le maquillage. J’aurais voulu porter des dessous sexy, mais j’étais quasiment dépourvue dans ce domaine. Un oubli à réparer de toute urgence. Je me suis aussi pluggée l’anus pour écarter mes chairs pour l’accueillir par là. Je voulais que ma partie étroite devienne ouverte à son membre comme mon sexe pouvait l’être. Je voulais être une putain qu’on encule à sa guise. Pourtant l’intromission de l’objet ne s’est pas faite sans mal et ce malgré le renfort du lubrifiant. Et une fois à l’intérieur je n’ai pu le garder que quelques minutes avant que mon corps l’expulse me laissant encore une fois honteuse. Quelles étranges impulsions me faisaient-elles me comporter comme une femme soumise à la recherche du plaisir dans l’humiliation? D’où venaient ces bouffées que ne pouvait pas contrôler? Je me souviens de cette jeune fille sur un pont. Brune, le corps trop grand pour son âge et qui tenait son jeune frère par la main. Cette grande fille maladroite poussée trop vite vers d’adolescence avec des seins que le reste de son corps n’avait ...
    ... pas encore assimilé. Elle était à la fois naturelle et totalement impudique à mes yeux. Cette image entrevue en voiture m’était revenue plusieurs fois sans que je parvienne à en comprendre le rapport avec moi... Il y a longtemps : C’était l’été, mes parents avaient loué un appartement dans un station balnéaire. Nous formions une famille unie. Ma mère, mon père, mon petit frère. J’étais à l’âge ou la fille que j’étais devenait une femme. Souvent mon corps qui se modifiait provoquait un trouble que je ne savais expliquer. Je regardais parfois mon corps nu dans la glace relevant mon tee-shirt ou baissant ma culotte pour regarder le duvet brun qui ornait mon bas ventre. En dehors de ces moments de trouble, j’étais encore une petite fille avec ses poupées ses jeux et qui jouait son rôle de seconde mère avec mon jeune frère. Bruno était un jeune garçon qui habitait dans le même immeuble. Lui aussi était en vacances, nos parents avaient sympathisé autour d’un apéritif. Je l’avais dédaigné, ne desserrant pas les dents de la soirée et restant dans les jupes de ma mère comme une fille sage. Quand je le croisais dans l’escalier je me sentais bizarrement gênée. Je le voyais avec une bande copains jouer au ballon sur la plage. Moi je restais assise sagement avec mon livre enviant en secret les filles plus qui elles aussi jouaient avec eux et qui étaient plus délurées que moi. Un après midi alors que j’avais emprunté la clé à ma mère pour venir chercher mon livre, il m’a surprise sur mon ...