1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (40) : notre nuit de noces (suite et fin).


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... elles, avant de se poser sur mon corps. • Oh, oui, Philippe, mon amour prends-moi, baises-moi ! Son sexe s'anime et trouve tout de suite son chemin dans mon humidité chaude. Je gémis de désir, je bouge pour mieux l'attirer en moi et referme mes bras sur son dos, le serrant fort, accompagnant ses mouvements. Pendant une bonne partie de la nuit, Philippe me fit l’amour longuement, me faisant enchainer les orgasmes avant de se répandre au fond de mon vagin. Le lendemain, nous nous réveillons enlacés, heureux. • Bonjour Basilissa Moy. Comment vas-tu ? • Bonjour mon bébé. Heureuse, tout simplement. Grâce à toi. Je t’aime, Philippe. • Vraiment ? Moi aussi je t’aime, mon Olga. • C’était merveilleux hier soir. Tu m’as épuisée, tu sais. Jamais tu ne m’avais autant donné de plaisir. Tu es sûr que tu étais tout seul à t’occuper de moi ? • Oui et je n’avais pas envie d’arrêter. D’ailleurs j’ai encore envie de toi ! • Tu es insatiable. • Dis-moi la vérité, Olga. Par rapport à ces deux types qui étaient de vrais étalons, je ne t’ai pas trop déçu ? • Ne dis pas de bêtises. Viens plus près de moi, mets ta tête sur mon épaule, mon bébé. Embrasse-moi ! Tu sais, j’ai besoin des deux. Que toi, tu me fasses l’amour. Et que d’autres me baisent, mais en ta présence, car j’ai besoin de ton accord, de ton regard, de ta complicité. Tu es toujours d’accord pour qu’on continue comme ça ? Ce fameux pacte candauliste que tu m’as proposé pour que je redevienne Madame T. • Plus que jamais, mon amour. ...
    ... Souviens-toi que c’est moi qui t’ai poussé à assumer ton hypersexualité. Et que j’adore te voir être aussi salope quand tu t’offres à d’autres. • C’est vrai que pendant des années, je ne voulais pas, tu m’énervais beaucoup de me pousser à me comporter comme une salope, ça me faisait honte. Maintenant je sais que tu voulais que je sois heureuse et que j’ai le maximum de plaisir. Et au final, notre amour est encore plus fort. • Le plaisir est dans ta nature, Olga. Si je pouvais, je ferai en sorte que tu passes tes journées à te faire baiser. Jamais, je n’aurais l’égoïsme de réserver pour moi de tels trésors. • Si d’autres ont aussi mon corps, toi, tu es le seul qui a mon cœur, Philippe T., mon mari. Nous nous regardons longtemps, les yeux dans les yeux, terrassés par un coup de foudre, aussi fort et sans doute davantage que la première fois où nous avons fait l’amour, 14 ans auparavant. Cette nuit a été unique, merveilleuse. Philippe me prend tendrement dans ses bras, caresse mes seins, avant d’insinuer un doigt léger dans mon intimité toute humide encore de leur nuit. Nous refaisons l'amour avec passion et tendresse, avant que la faim ne nous force à quitter le lit pour préparer notre petit déjeuner, tout gazouillants et gorgés d'amour. Philippe picore des bisous dans mon cou et me chuchote des compliments, me faisant rire de joie. Ses yeux sont emplis d'amour et d'espoir, son sourire est irrésistible. Philippe est mon chevalier servant, il m’a si merveilleusement aimée pendant ...