1. Agent secret en péril (3)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Transexuels

    ... dans mon petit trou, jusqu’à ce que je le sente se cabrer en moi et lâcher sa semence chaude dans mes entrailles. Mais ce que je préférais, c’est quand ils venaient à plusieurs… cinq ou six verges bandées qui se frottent contre mon visage, contre mon corps, puis qui me prenaient un à un, passant de ma bouche à mon derrière, jusqu’à ce qu’ils se vident tous en moi, ou sur moi… être recouverte de sperme me faisait triper grave. L’odeur, le goût, la texture, la chaleur, je devenais de plus en plus accro au sperme, je ne pouvais plus m’en passer… A la fin, ils ne fermaient même plus la porte de ma prison, j’étais trop avide du plaisir et de sperme que pour même penser à m’enfuir… Et j’avais souvent de la visite, j’étais parfois même réveillé pendant la nuit, par un garde excité, qui me présentait sa belle bite à sucer, ou bien qui me prenait en levrette, ou bien en s’agrippant à mes chevilles s’enfonçaient en moi, jambe relevées et mes yeux dans les leurs… et sans rien me demander, ils venaient et se servaient en fonction de leur envie du moment… j’étais à leur totale disposition, et j’adorais ça… Parfois ils venaient à plusieurs, et pendant qu’un me prenait, j’en suçais ou branlais deux autres… Pour les officiers, c’était différent. Ils avaient droit à m’avoir rien que pour eux pour une soirée. Pour eux, je devais aussi m’habiller selon leur fantasme. J’aimais jouer ces scénarios ! Par exemple, un des officiers me fit m’habiller d’une longue robe de soirée, presque ...
    ... transparente. On voyait mon string et le soutien en dentelle noir par-dessous. Il m’offrit un verre de vin, et me dragua, comme il le ferait lors d’une soirée. D’abord réticente, je devais ensuite petit à petit tomber sous son charme… jusqu’à ce que je sente ses mains sur mon corps, pelotant avec désir mes fesses… puis il m’entraîne dans un coin désert de la « soirée » et m’embrasse avec passion… il me retourne violemment, caresse mes seins, embrasse ma nuque, frottant la bosse qui déforme son pantalon de soirée contre mes fesses… je me débats, le refuse… il soulève alors de force ma robe, caresse la chaire douce de mes fesses, puis ayant sorti son bel engin bandé, déplace la cordelette du string et s’enfonce en moi… ma détermination à lui résister s’affaiblit tandis que je sen son bel engin puissant en moi, tandis qu’il me prend là contre un fauteuil, jusqu’à ce que finalement je me donne entièrement à lui… Pour un autre officier, je devais m’habiller en écolière. Jupe courte, petit slip blanc, chemisier blanc et petite cravate assortie à la jupe, socquette blanche, cheveux ramenés en couette ou en queue de cheval, au grès de ses fantaisies. Invariablement, je faisais une bêtise, et il me prenait sur lui pour me retirer ma culotte et me donner une fessée. Son membre grossissant à vue d’œil, il le sortait, je le suçais, avant qu’il ne se couche sur son « bureau de professeur » et me demande de venir m’empaler sur son membre puissant… Pour d’autre j’étais sage et innocente, pour d’autres ...