1. Agent secret en péril (3)


    Datte: 11/06/2019, Catégories: Transexuels

    ... combinaison noire, masque blanc. Les petites cochonnes comme toi ont une combinaison rose. Tiens, voilà l’uniforme, et les bottes, enfile-les ! Il me tendit le paquet qu’il portait, qui contenait un tas de vêtements roses, en latex… j’étais toute excitée de découvrir cet uniforme ! L’uniforme en lui-même était un body en latex rose. Le body contenait la moitié de mes fesses puis le latex passait sous les jambes, enfermant mes testicules et ma verge, montait sur mon ventre et allait jusqu’à mon cou. Idem pour le dos. Il n’avait pas de manche, laissant mes épaules et mes bras dénudés. Deux fermetures éclairs sur la poitrine, qui s’ouvraient sur mes tétons et mes petits seins, une fermeture éclair pour donner accès à mon anus si on l’ouvre à moitié, et ouverte totalement elle devait certainement laisser passer mes testicules et ma verge. Le rose était le même que mon collier de cuir, le latex s’arrêtant juste sous le collier. Le latex était tellement près du corps, qu’on voyait mon sexe et mes tétons, déjà dressé au milieu de mes petits seins. En plus du body, il y avait une paire de gants en latex, du même rose. Les gants allaient presque jusqu’à l’épaule, en tout cas bien après mon coude. Des bas en latex du même rose, qui montaient jusqu’à mi-cuisse. Enfin des bottines en cuir rose, avec de très hauts talons complétaient l’uniforme. Toute lacée par devant, elles montaient jusqu’à la moitié de mes mollets, et avaient un talon d’au moins douze centimètres ! Heureusement, la ...
    ... semelle avant était aussi assez large, ce qui me donnait plus de stabilité. Je m’habillais, puis montrait le résultat aux gardes. Content du résultat, le garde accrocha la laisse au collier. Il me fit néanmoins marcher à quatre pattes. Pour la première fois depuis des semaines, des mois, je ne savais même pas estimer le temps passé, je quittais ma cage. A quatre pattes derrière le garde, je m’enfonçais dans les ténèbres, passait une porte, et suivit toute une série de couloirs avec des portes métalliques et leurs petits boitiers de sécurité, sur la droite et sur la gauche. Nous croisâmes d’autres gardes combinaisons noirs et masques blancs qui me zyeutaient sans vergogne. Je sentais leurs regards sur mes fesses, parfaitement moulées dans le latex rose, et cela m’excitait. Après une série de croisement, les gardes s’arrêtèrent devant une porte, plus grande et mieux blindée que les autres. Ils sonnèrent et après un moment, la porte s’ouvrit. Nous arrivâmes dans un salon, très cosy. Il y avait un feu qui flambait dans une belle grande cheminée gothique. De nombreux chandeliers avec des bougies allumées illuminaient la pièce. Au sol, des tapis moelleux, de prix. Au mur des cadres de grands maîtres, tous représentant des nus ou des scènes érotiques. Une grande table, elle aussi de style gothique, avec des verres en cristal une carafe de vin, un beau plateau de fruit, trônait sur le côté. Et près du feu, trônant dans un fauteuil gothique, damassé de tissu pourpre et le bois patiné ...
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