Marion et le chantage (1)
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... j’ai longuement regardé les vidéos. — Tu m’as espionné, tu es ignoble et pervers. — Et toi, tu es quoi ? Tu as fait cocu papa, tu fumes, te drogues même. Alors pas de morale, plus de morale. Désormais, on va passer à de nouveaux rapports. — Tu es fou, Sylvain, je suis ta mère, par pitié. Reprends-toi. On va discuter de ça à la maison tranquillement et... — Et une belle femme aussi. Tu aimes le cul, je le sais. Et bien maintenant, tu n’auras plus à te cacher de moi. — Que veux tu dire ? Mais ça va pas ! Tu es malade. — Si, ça va très bien, au contraire ! Tu m’as dit de trouver une copine et bien, je t’ai trouvée toi. Maintenant à toi de réfléchir : Si je dis tout à papa, notre famille vole en éclat. Si tu deviens ma soumise, alors tu prendras ton pied en toute sécurité. — C’est un cauchemar ! Tu es incestueux. — et non, maman, c’est la vérité ! Finis ton verre et va payer. Elle se lève alors, gênée, devant tous les clients. Vêtue de sa minijupe aux bas résilles et de son tee-shirt gris. Ses seins tombent en dessous du tee-shirt et comme ils sont libres et énormes, ça bouge lentement et lourdement. Floc, floc. Elle s’avance. Le serveur et le barman regardent à en baver la rondeur de sa poitrine et les tétons qui déforment le tissu. Elle leur fait un petit sourire sans conviction, prend la monnaie devant le regard envieux des deux hommes et revient vers moi. Ses seins bougent toujours. Elle enfile sa veste et nous partons. — bon, ce soir, nous allons sortir ensemble. — Hein ? ...
... Mais tu es fou ? Je suis ta mère pas ta copine. — Ce soir, on sort ensemble. On va aller au resto puis en boîte. — En boîte ! Mais c’est pour les jeunes de ton âge ? Tu ne vas pas m’emmener en boîte, tout de même. — Et si, et je veux que tu restes habillée comme ça. — Tu te rends compte Sylvain ? Ma mère ne dit rien et me suit. Elle a froid. On se trouve un resto chic. Il est temps car il gèle et maman a les jambes peu protégées. Margot fait son petit effet en entrant. Surtout lorsqu’on nous enlève nos manteaux car maman se retrouve alors les nénés à moitié exhibés. On se trouve une table classe avec bougies. On passe commande : — pour madame ce sera ? — Un plat de fruit de mer — Et pour votre ami ? — La même chose avec une bouteille de vin : Un bordeaux. Il nous a pris pour deux amants. La différence d’âge est peu flagrante car maman est maquillée et physiquement, elle fait trente ans. Il doit m’envier de dîner avec cette femme. Mais il ignore que c’est ma mère. J’ai remarqué ses coups d’oeil sur l’échancrure du décolleté. Lui aussi, il apprécie les gros Seins. Nous prenons un verre de vin. Margot semble plus détendue. — Tu es vraiment belle maman, je te l’ai jamais dit ? — Non, Sylvain, mais ta façon de le dire est malsaine. — Il n’y a rien de malsain à trouver sa mère sexy. — Arrête, ça suffit, j’ai honte de moi, de toi, de tout. Je suis désolée que tu aies vu tout mon corps. Tu as été choqué, on peut aller voir un psi si tu veux. — Et ça, je doute que papa n’aie pas la puce ...