1. Les hauts et les...bas (4)


    Datte: 27/08/2017, Catégories: Transexuels

    Jeannedorée Des hauts et des bas... 4 travesti fantasme Béatrice et ma femme En satin ou en soie, les caracos sont accrochés à la poignée de l’armoire de la salle de bain... avec quelques autres pièces de lingerie parfois qui semblent encore chaudes du corps de leur occupante, ma femme. Placées à hauteur de verge au sortir de la douche, elles sont autant d’invitations à s’y frotter discrètement faute d’en disposer vraiment pour pouvoir les enfiler ou s’y branler. La lingerie féminine, quand vous l’avez dans la peau et sur la peau, ça ne vous lâche pas. Fantasmes à portée de main(s) mais avec un goût d’interdit. J’en profite, par jeu un peu jouissif, pour me caler la queue entre les deux portes de l’armoire entre-ouvertes et la faire coulisser dans le fourreau soyeux. A ce moment précis où j’ai aussi les deux pointes de mes tétons au bout des doigts en gémissant, la porte de la salle de bain s’ouvre! C’est Béatrice la femme de ménage et compagne de jeux parfois interdits, qui demeure... interdite. Elle ne s’attendait pas à me trouver là à cette heure là de la matinée. Moi je n’y pensais plus mais elle est là, en service avec chignon, blouse bleue et chiffon à la main. Seules ses jambes sveltes et gainées sur des talons devenus un tout petit peu plus hauts ces derniers temps pourraient éventuellement être sujets à inspiration, concupiscence ou mains baladeuses. Son regard est narquois Broute maintenant « Vous aimez ça aussi ? » glisse-telle. Allez donc lui dire le contraire! ...
    ... « Il sont beaux, surtout le blanc. Il est doux mais aussi brillant lisse et excitant » lui dis-je. Je continue à m’astiquer le sexe en douceur, ayant délaissé le fourreau des portes entre-baillées pour une main pendant que l’autre décroche le caraco blanc. Béatrice me le prend alors des mains et elle y plonge un temps son nez avec bonheur et délicatesse. « Et puis, dit-elle, il y a l’odeur de madame ». « Vous connaissiez l’odeur de madame, vous? » Elle pique un petit fard et répond très vite « Ben oui, le linge dont je m’occupe et de temps en temps une petite culotte à renifler ou...à recycler ». Allusion a peine déguisée à une de nos premières parties de jambes en l’air mais il me semble qu’au fond, les choses ne sont pas si élémentaires que cela. « Et dans ce caraco vous avez senti ça? » Béatrice se trémousse sort sa langue, lèche la petite bordure en broderie et confesse qu’avec les seins de ma femme dedans, « c’est encore meilleur surtout quand les pointes sont bien dressées » surtout « quand je peux lui glisser quelques doigts dans la chatte ou dans le cul ». Sue le cul, c’est moi qui y suis. Je rêve! voilà qu’en clair elle me dit qu’elle se gouine avec la patronne, c’est à dire ma femme, alors que je pensais nos jeux très réservés totalement exclusifs. Il y a non plus une mais deux salopes dans l’histoire! Trois avec moi qui adore les histoires et les habits de femmes. Je reprends le caraco, me le glisse autour de la queue et dis à Béatrice de lécher le tout. Plus de ...
«123»