exhibition (1)
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... trouvait la queue en l’air face à la voisine ? Je sens mon plaisir monter, je me retiens, mon poignet ralentit son mouvement, ma main relâche sa pression, je souffle un peu. Ma queue palpite dans ma main, le rideau bouge je reprends mes va et viens, j’éjacule quand la Renault de sa mère entre dans la cour. Je me dépêche des nettoyer les éclaboussures sur le carreau, Chris est sortie pour accueillir Thérèse, sa mère, non sans avoir jeté un œil discret dans ma direction, un petit sourire narquois au bord des lèvres. Thérèse, brune comme sa fille, le cheveux court permanenté, pas très grande mais des formes à faire bander un mort. Je n’étais qu’un ado quand j’ai pu voir ses seins à travers sa chemise de nuit la première fois. Elle m’emmenait au collège avec sa fille le samedi matin. Je venais chez eux, elle toujours en retard, apparaissait en nuisette, ses seins lourds ballotant de tous côtés, enfilait un imper et nous conduisait en quatrième vitesse à l’école. Je passais le court voyage à la mater dans la voiture et toute la matinée l’image de ses nichons ne me quittait pas. Le midi je filais dans ma chambre pour me soulager. Je me rejouais des scènes de films pornos avec elle comme actrice principale et Chris qui nous regardait en se donnant du plaisir. L’été est arrivé, Thérèse en profite pour bronzer dans sa cour, allongée presque nue sur un transat. De ma fenêtre je peux la mater sans ...
... qu’elle me voie. Sa peau laiteuse et ses formes généreuses m’excite, je sors mon sexe et me caresse, elle est à portée de main, je transpire. La fenêtre du salon d’en face s’ouvre, je sursaute, je recule, Chris sort un moment sur le balcon, jette un regard sur sa mère puis le porte dans ma direction, je suis sûr qu’elle ma vue, qu’elle sait que je suis là, la queue à la main entrain de mater Thérèse ! Elle rentre, laissant fenêtre ouverte, je peux la voir au fond de la pièce son regard croise le mien. Elle me défie, est ce que je vais lui montrer ce qu’elle voit maintenant tous les soirs où vais-je me cacher continuant à mater sa mère ? Je ne me cache plus, debout derrière mon carreau je me déshabille, le sexe bandé face à Chris, plus excité que jamais je me branle. A ma gauche, Thérèse sur son transat a dégrafé le haut de son maillot de bain libérant des seins blancs aux bouts rouges, en face de moi Chris s’est assise sur un fauteuil et me mate sans gêne. Je n’ai jamais bandé aussi fort, ma bite me fait mal, j’accélère le mouvement, me rapproche de la fenêtre, j’éjacule, mon foutre coule sur le carreau ! Chris se lève et quitte la pièce, je ne sais si son regard à ce moment est un regard d’envie ou de dégoût. J’essuie le sperme dégoulinant, si mes yeux ont quitté la mère de Chris quelques instant je m’aperçois que derrière ses lunettes de soleil, Thérèse n’a pas loupé un moment de mon exhibition.