L'échangisme, meilleure alternative au cocufiage
Datte: 12/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
totalsexe,
entrecoup,
... qu’il avait donnés à la pute qui était avec lui, mais qu’il me les donnerait pour me sauter la prochaine fois. J’ai été si vexée que je n’ai plus jamais voulu recommencer jusqu’à aujourd’hui.— Et tu le regrettes ?— Pas du tout et toi ?— Encore moins que toi. J’ai encore envie de toi.— Tu dis que je suis chaude, mais c’est toi qui n’arrêtes pas de bander.— Tu me rends fou, tu as des nichons sublimes, une chatte plus que bonne, et un amour de cul.— J’ai bien remarqué qu’il te fait envie mon gros cul, tu n’as pas arrêté d’y enfiler les doigts.— Tu es fâchée pour cela ?— Mais non, j’ai l’habitude. Si tu en as envie, tu peux aussi y fourrer ta bite.— C’est vrai ? Tu pratiques vraiment la sodomie ?— Tu as l’air surpris ! Tu n’encules pas ta femme ?— Non, elle ne me donne pas ce trou-là.— Moi, si. Je le fais volontiers, je suis très large de ce côté, je n’ai jamais eu mal même la première fois ; en fait, ça me plaît bien. Par contre, je n’aime pas du tout sucer.— Maria par contre est très douée pour les sucettes.— Alors Éric va se régaler, lui qui adore les femelles goulues comme il dit. Toi tu devras te contenter de niquer mon cul.— Cela fait mon bonheur, ne t’inquiète pas. Retourne-toi, je vais le faire tout de suite.— Mets un peu de salive sur le gland pour qu’il rentre mieux. Après, tu m’enfileras le reste de la bite facilement, tu verras. Sur ce, elle se tourna et se mit en levrette, la croupe saillante, les genoux très écartés. Ses deux orifices étaient grand ouverts, et ...
... appelaient le sexe. Son anus m’attirait irrésistiblement et me faisait bander comme un cerf en rut. Sur les conseils de ma partenaire, je crachais dans ma main et m’enduisit la pointe du sexe de salive avant de le présenter à l’entrée de ce petit trou. Je dus d’abord forcer un peu le passage, puis je m’enfonçai tout entier en elle avec une facilité déconcertante. Je restai un moment immobile, avant de commencer à bouger tout doucement. Je m’enhardis peu à peu, et je finis par aller et venir de plus en plus loin et de plus en plus fort. Que c’était bon ! Elle était large, la bougresse, les autres queues qui avaient emprunté cette voie l’avaient bien rodée. Je me mis à caresser les grosses fesses rebondies et tendues, son sexe béant, ses nichons qui s’agitaient en mesure, puis je découvris qu’elle aimait se faire branler le clitoris. Elle eut son petit orgasme, et je me mis à la sodomiser de plus en plus fort, pour finalement jouir dans ses reins. C’était la première fois que je prenais tant de plaisir en faisant l’amour de cette façon et j’en remerciai Édith : — C’était le grand pied.— Tu as aimé alors ?— Presque trop. Tu es une fille formidable.— Je te remercie, c’est gentil, mais toi aussi tu m’as donné du plaisir.— Tant mieux, tu le mérites bien, crois-moi. Et maintenant, comment fait-on ?— Il n’y a pas cinquante solutions quand on pratique la sodomie, et en plus sans capote, il faut aller se laver après.— Bon, direction la salle de bains, alors ! Je me levai à regret et nous ...