1. L'échangisme, meilleure alternative au cocufiage


    Datte: 12/06/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, totalsexe, entrecoup,

    ... cavalière qui n’attendait que ce moment et dont la prise ne s’était pas relâchée. Je me penchai sur elle et posai mes lèvres sur sa bouche. Elle me rendit de suite mon baiser en enroulant sa langue autour de la mienne et je me mis à la caresser. Je palpais ainsi les gros seins à travers le tissu de la robe, puis descendis la main entre ses cuisses ouvertes pour caresser sa motte moite sans franchir la petite culotte. J’entrepris de remonter sa robe et la lui enlevai par le haut après qu’elle m’eut aidé en décollant un peu ses fesses. Je l’embrassai à nouveau, en caressant sa peau nue et satinée et elle me chuchota : — Tu ne crois pas qu’on serait mieux sur un lit ?— Si, tu as raison. Viens ! Et je l’entraînai vers la chambre tandis qu’Éric faisait jouir ma femme qui exprimait très fort son plaisir. Elle avait cessé de crier tandis que nous nous allongions sur le lit. Tout en me rendant mes baisers, Édith dégrafa son soutien-gorge que je m’empressai de lui enlever, ainsi que sa culotte. Je me mis à genoux sur le lit pour la contempler : elle était magnifique, malgré quelques excès de rondeurs et dégageait une très forte sensualité. Les fortes cuisses, un peu blanches, encadraient une toison de brune très fournie qui cachait mal son sexe entrouvert et luisant, le ventre bien rond ne manquait cependant pas de charme, mais c’était surtout sa poitrine qui était extraordinaire. Les seins étaient très gros, très fermes et avaient des mamelons très longs. Je m’empressai de me ...
    ... déshabiller le plus rapidement possible et commençai à couvrir sa peau de baisers. J’embrassai sa bouche, son visage, son cou, les épaules pour arriver sur l’opulente poitrine. Je ne pouvais me lasser de ses seins, je les caressai, les embrassai, les suçai, agaçai les mamelons sensibles en arrachant des soupirs de plaisir à ma partenaire qui caressait mon visage et mes cheveux. Puis je me résolus enfin à poursuivre mon voyage sur ce corps offert, embrassai le ventre chaud et doux, puis arrivai enfin entre ses jambes. Je commençai par couvrir de petits baisers l’intérieur des cuisses qu’Édith écarta progressivement, jusqu’à ce que ses lèvres intimes s’entrouvrent sur de voluptueuses profondeurs. J’avais très envie de goûter à ce beau fruit à l’odeur musquée, de manger cette belle chatte comme disait Maria. Je commençai par y poser des baisers très légers comme pour faire connaissance, puis avec ma langue, j’écartai les grandes lèvres pour dégager un petit bouton coquin qui quémandait les caresses. Je l’embrassai, le léchai, jouai avec lui dans ma bouche, puis le léchai tout en introduisant un doigt, puis deux, puis enfin trois dans son con trempé que je me mis à branler vivement sans cesser de lécher le clitoris. Je m’introduisis au passage plusieurs fois dans son autre petit trou sans provoquer la moindre protestation, ce qui était de bon augure. La mignonne appréciait mes attentions et me caressait le visage et les cheveux en gémissant. Soudain, elle se tordit en haletant très ...
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