L'Equipe VIII
Datte: 13/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... un long et puissant jet de sperme. Lorsqu'il se retira de moi, je ressentais comme un vide. Mon ami me tira vers lui et je me retrouvais assis sur le canapé à côté de lui. Se tenait devant nous le grand roux qui s'était redressé, sa verge luisante de sa semence se balançait librement sous nos yeux, son phallus était encore bandé et de son méat pendait une longue cordelette de sperme. Rick fut le premier à réagir de sa langue il coupa le filament de semence et s'attaqua au membre turgescent. En un instant je le rejoignis et nos langue jouèrent, glissèrent sur cette verge frémissante. Une à deux minutes plus tard Rick était debout, torse vers le mur au dessus du canapé, bras tendus et mains contre le mur, une jambe levée, le pied reposant sur l'accoudoir. Steves se tenait derrière lui, les bras refermés sur son torse, les mains, les doigts jouant de ses tétons, un pied aussi sur l'accoudoir alors qu'il donnait de puissant coups de reins, prenant et sodomisant notre ami avec toute la fougue d'un jeune adulte en rut. Et moi? J'étais là assis à seulement quelques dizaines de centimètres, totalement hypnotisé par ce spectacle de voir ce grand et fort rouquin sodomiser de toute sa fougue ce jeune homme à la tignasse noire, arrachant de son corps des gémissements de pur plaisir. Égoïstement je n'avais qu'un seul regret, ce n'était pas moi, c'était Rick... De longues minutes durant tel un piston, son sexe, sa verge coulissa en lui dans de longs et puissants vas et viens. Je ne sais ...
... comment mais je fini par me glisser derrière Steves, sur mes genoux, inclinée ma tête se glissa entre ses cuisses et du mieux que je pouvais, je donnais des coups de langue contre l'arrière de ses bourses, le long de son périnée, presque jusqu'à sa rondelle. Il devait apprécier car il glissa sur ses pieds, s'ouvrant un peu plus à mes stimulations et redoubla d'effort en sodomisant Rick de plus belle. Le noiraud fini par atteindre son deuxième orgasme et son foutre vola en de nombreuses mais petites cordes dans les airs, s'écrasant contre le dossier du canapé. Il ne fallut que quelques minutes de plus pour que des grognements intenses résonnent à nos oreilles, les entrailles de notre gardien recevant le foutre chaud de notre fougueux étalon roux. A cet instant je m'étais écarté, il avait agrippé Rick sous les bras, mains repliées sur ses épaules et avait reposé ses pieds sur le sol afin de pouvoir donner de plus forts et puissants coups de reins. Néanmoins, je pouvais encore voir d'où j'étais la peau de son périnée et de ses bourses se contracter à chaque fois que son corps expulsait sa semence, cette vision était hypnotique et fascinante, comme prise hors du temps, presque divine. Je portais à mes lèvres le grand verre d'eau glacée, appréciant sa fraîcheur après les intenses moments que nous venions de vivre. Nous étions tous trois assis dans le canapé, le corps perlant de sueur, des rougeurs au visages, nus comme des vers, nos jambes allongées, pieds sur la table basse et un ...