1. Sortie Scolaire 03


    Datte: 13/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Sortie scolaire 3 - Le feu de camp A peine eut-elle le temps de se nettoyer le visage, de calmer les battements affolés de son cœur, de fouiller dans son sac pour revêtir un autre maillot, que déjà elle entendait les bruits de voix annonçant le retour de la joyeuse troupe. Elle dut se résoudre à les rejoindre, rougissante, il lui semblait que tout le monde allait soup-çonner l'acte ignoble qu'elle venait d'endurer, elle partit d'un pas incertain à leur rencontre. Etonnée, elle comprit bien vite que personne ne se doutait, se pouvait-il que rien ne parut sur son visage? Sa déchéance ne frappait personne? ..... Comment ne se rendaient-ils pas compte? Ainsi on pouvait se livrer à de tels agissements sans que personne ne s'en douta! .... D'une oreille distraite elle écouta ses enfants lui raconter leur première baignade, tout heureux de ce premier contact, ils ne lui posèrent aucune question sur ce qu'elle avait fait, et comme cela l'arrangeait bien, elle n'en suscita pas non plus. Le début de soirée, consacré au souper arriva vite, puis fatigués de cette première journée au plein air tous se couchèrent bien vite, seule au creux de son douillet sac de couchage elle resta longtemps yeux ouverts, cœur palpitant, se remémorant cette fin d'après midi. Elle se voyait encore et encore supportant les souillures infligées à son corps par les deux aco-lytes, les suçant avec honte pour enfin faire une pipe, comme ils disaient, à leur chef, à l'intérieur même de sa tente, c'était ...
    ... comme si elle l'avait tété chez elle, c'était son home qui avait été envahi. C'était comme si après avoir accueilli son suborneur dans son couloir, elle lui avait fait une gorge profonde et cela lui semblait d'autant plus invraisemblable qu'elle savait qu'il lui aurait suffi de lui refuser sa porte, mais ... n'est-ce pas volontairement qu'elle s'était livrée à une telle débauche, après avoir goûté aux sexes de ses comparses, n'avait-elle pas, dans un ultime moment d'égarement voulut apprécier celle de leur chef, dans son esprit tout s'embrumait, le plaisir, la honte, tout se mélangeait, et c'est fouillant sa chatte de ses doigts enfiévrés qu'elle s'endormit enfin toute troublée par la confusion de ses sentiments. Le lendemain matin, elle se réveilla trempée de sueur, assez nauséeuse, d'un geste machinal elle s'étira, puis, avec lenteur elle se caressa l'entrecuisse, étonnée de le sentir si poisseux. Et, rougissante de honte elle comprit qu'elle avait du, inconsciemment, se branler durant la nuit, la moiteur de sa moule, le léger échauffement de ses nymphes, tout témoignait des activités nocturnes auxquelles, inconsciemment elle avait du se livrer. En hâte, elle se leva, et courut presque aux sanitaires, où elle profita de sa solitude pour se laver avec fureur, se frottant avec énergie comme si cette simple action pouvait la blanchir de toute souillure. Enfin, le corps récuré, elle retourna à la tente réveillant sa compagne surprise de la voir levé si tôt. Bientôt, les tentes ...
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