L'INCONNU DU CINEMA (5)
Datte: 13/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... L’ami de Marc se tourna vers moi pour me dire : — Ma chère Émilie, se serait agréable d’avoir un petit fond musical pendant ces intéressantes discutions. J’ai regardé mon mari comme pour lui demander son avis mais il était toujours concentré sur le discours de Marc, alors je me suis levé pour mettre un cd de jazz qui me semblait approprié, je me suis dit qu’effectivement ce fond musical rendait le moment plus agréable. En retournant me rassoir, mon hôte m’a fait signe en tapotant sur l’accoudoir du canapé près de lui et m’a dit : — Ma chère Émilie, ne me laisser pas seul, venez là près de moi. J’ai de nouveau regardez mon mari, l’air surprise comme si je n’avais pas compris la demande formulé. — Vous avez bien entendu, ne vous préoccupez pas de nos amis ils sont trop occupés dans leurs bavardages, venez là à mes cotés, nous avons tant de choses à nous dire. Sans savoir si je devais le faire ou pas, je me suis approché doucement avec de nouveau cette angoisse malsaine qui me portait au cœur, je regardais vers mon mari réclamant surement ce que je devais faire. Mais mon homme ne semblait pas percuter ce qui se tramait, il était totalement concentré sur le discours de Marc, qui tout en parlant me regardait avec des yeux gourmands cherchant à me faire comprendre que les choses sérieuses allaient commencer. C’est la boule au ventre que j’avançais vers son ami, celui qui avait abusé de moi dans la voiture, il n’allait pas abuser de moi devant mon mari, il n’oserait quand même ...
... pas ? Arrivée à sa hauteur, il me dit : — Restez donc là, debout près de moi et ne craigniez rien nous sommes dissimulés par votre magnifique bouquet de fleurs. Effectivement regardant vers les deux autres j’aperçus que le grand vase de glaïeuls sur la table base faisait comme un rempart visuel entre nous et eux. Je restais donc là tel un décor, regardant toujours vers mon homme comme pour me rassurer, lorsque il me chuchota : — Vous savez bien que vous n’avez pas le choix, alors pourquoi réfléchir ? J’étais horrifiée en entendant ses mots, il était fou, quoi qu’il fasse mon mari allait forcément réagir il ne pouvait pas en être autrement. Tout en restant fixée sur mon mari qui écoutait toujours Marc, j’ai senti une main remonter sous ma jupe jusqu’à venir me peloter les fesses, j’étais en stress total le cœur battant et la peau moite. Je ne bougeais pas d’un centimètre espérant que mon mari ne s’aperçoive de rien, par contre se sentais très bien cette main qui me fouillait carrément sous la robe, des doigts inquisiteurs faisaient des vas et vient dans le sillon de ma vulve et entre mes fesses tout en badigeonnant le liquide poisseux qui dévoilait malgré moi le plaisir que me procurait cette situation. Toujours en chuchotant il repris : — Je vois que vous êtes toujours aussi réceptive. Sa main a plusieurs fois parcouru mes jambes, caressant le voile des bas pour venir se poser sur la chair de mon entre cuisse me procurant a chaque passage d’agréables frissons. Puis glissant un ...