Baptême
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fête,
Oral
fgode,
... allons vers la salle paroissiale où nous attend le buffet. Après avoir confié à sa mère le soin de l’accueil et à ma compagne le nouveau baptisé, Catherine m’entraîne pour aller chercher chez elle quelques bricoles destinées à compléter ce qu’a livré le traiteur, et qui n’ont pu être apportées avant la cérémonie. Nous parcourons au pas de charge les 500 m qui nous séparent de son appartement sans qu’elle dise un mot. Sitôt la porte fermée, elle se précipite sur moi pour me donner un coup de poing sur la poitrine en me traitant de salaud avant de s’accrocher à mon cou pour un long baiser passionné. Je défais sa jupe et retire son slip qui est trempé. D’ailleurs, toute la zone est inondée : m’est avis que c’est miracle que sa jupe n’en porte pas les traces. Je pose mes lèvres sur son bouton gonflé tout en manœuvrant le manche. Cela arrache un soupir à ma chérie qui se laisse aller sur le canapé. J’œuvre ainsi quelque temps avant de retirer le goupillon de son fourreau humide pour le présenter à son autre trou. Elle n’objecte pas, tant elle est excitée. Je n’ai guère à forcer pour que l’étroite porte s’ouvre. Je regarde, fasciné, la boule disparaître lentement. Une fois son équateur franchi, elle est avalée d’un coup. En levant les yeux pour regarder son visage, mon regard accroche le trophée accroché au mur. Un diablotin me souffle une nouvelle pensée par association d’idées. Je me redresse pour l’embrasser et lui demander de fermer les yeux, ce qu’elle fait docilement. Je ...
... décroche l’épée (qui a appartenu à un aïeul de Catherine), en nettoie la poignée avec le slip abandonné et l’enfile là où la place est non seulement libre, mais prête à la recevoir. Pour preuve, l’aisance avec laquelle je la fais disparaître jusqu’à la garde d’un simple petit mouvement du poignet. La brusque intrusion ne la fait même pas sursauter. Je la pistonne avec les deux objets. Elle est si chaude qu’elle ne tarde pas à jouir, une première fois puis – comme je continue le double ramonage – une seconde fois avant de demander merci. Je l’embrasse, dégage doucement les deux objets et vais les nettoyer. Tandis que ma chérie va d’un pas un peu incertain faire un brin de toilette, je remets à sa place le sabre, mets au sale le slip et prépare rapidement ce que nous étions primitivement venus chercher. Quand Catherine réapparaît, tout est prêt. Elle passe sa jupe, s’approche de moi et, tâtant ma braguette, déclare qu’elle ne peut me laisser ainsi. Elle s’agenouille pour me tailler une pipe mémorable. Avec mes sens exacerbés, j’atteins rapidement le point de non-retour. Je l’en avertis ; elle continue imperturbablement à me pomper. Je ne tarde guère à jouir au fond de sa gorge. Elle avale tout sans en laisser échapper une goutte, nettoie soigneusement mon sexe à coups de langue avant de le remettre en place, tout en déclarant qu’il faut se dépêcher car on doit nous attendre. Je lui rappelle qu’il faut penser à rapporter le goupillon. Elle m’adresse son plus beau sourire en ...